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  • L'oiseau devinette du lundi

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    Quel est donc cet oiseau photographié avec sa proie, le 23 février 2014, à Carbon-Blanc, en Gironde? Photo Alain Noël

    alain noel.jpgChaque lundi, Ma Planète vous invite à découvrir un oiseau de la région, avec une petite énigme proposée par Alain Noël, ornithologue amateur et photographe animalier girondin.

    Notre oiseau mystère de la semaine est un rapace, comme en atteste la photo. La plupart du temps, pour se repaître, il se contente de dépecer les cadavres d'animaux, de toutes tailles, du mulot au ragondin, voire plus gros encore. Voilà pourquoi on le voit souvent perché perché sur un piquet au bord des routes ou des autoroutes, là où les bestioles écrasées ne sont pas rares. Mais il sait aussi attraper des proies vivantes: insectes, rongeurs, reptiles...

    Quel est donc cet oiseau méfiant, qui fuit les hommes mais ne craint pas les voitures ? Langue au chat ? 

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  • Le livre vert du dimanche : "Le bio, au risque de se perdre"

     critique,livre,frédéric denhez

    Les fruits et légumes labellisés bio, emballés sous vide, vendus par la grande distribution et pas toujours locaux ni de saison, sont-ils vraiment "bio" ? Photo AFP 

    Le saviez-vous ? Dans un an, la bio sera quinqua et soufflera ses 50 bougies. Si elle pouvait produire un extrait de naissance, on y lirait qu'elle est née officiellement à Bordeaux, où s'est tenu le premier congrès de l'agriculture biologique, en 1969. Car c'est alors qu'a été rédigé le cahier des charges et des bonnes pratiques qui a inspiré la première charte du bio, publiée plus tard en 1974 par l'association  Nature et Progrès. Elle-même créée en 1964, pour "promouvoir toutes les méthodes d'agriculture biologique", afin de "sortir du sectarisme, des dogmes et déjà, de dérives mercantiles".

    Une pépite parmi tant d'autres à glaner dans le nouveau livre roboratif et foisonnant d'infos de Frédéric Denhez, "Le bio, au risque de se perdre", publié aux éditions Buchet-Chastel.

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  • Protection de l'ours brun dans les Pyrénées : l'Etat condamné par la justice. Et maintenant ?

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    Pour espérer voir de nouveaux oursons peupler les Pyrénées, il faut procéder à de nouveaux lâchers de femelles. Photos archives Sud Ouest / Guillaume Bonnaud

    Dans l'ouest des Pyrénées, il ne reste que deux ours mâles, Néré et Canelito, deux vieux célibataires. Parfaitement insuffisant, selon les scientifiques et les spécialistes de l'ursidé, pour assurer la survie de l'espèce, réintroduite en France en 1996. Aussi, cela fait maintenant près de dix ans, que les défenseurs du plantigrade et notamment les associations Pays de l'Ours - Adet et Ferus, bataillent auprès de l'Etat pour oeuvrer à sa pérennisation dans le massif franco-espagnol. Ce qui implique, comme elles l'ont demandé et redemandé, de nouveaux lâchers d'une ou de plusieurs femelles venues de Slovénie, dès ce printemps.

    Un courrier en ce sens, adressé l'an dernier par Nicolas Hulot, alors président de la Fondation pour la nature et l'homme (FNH) à Ségolène Royal, ex-ministre de l'Ecologie, était resté lettre morte. C'est désormais au nouveau ministre de la Transition écologique, de répondre... à savoir Nicolas Hulot lui-même. Qui ne se bouscule pas pour le faire et donner son feu vert à de nouveaux lâchers, alors que comme le soulignent les deux associations pro-ours : "Il y a désormais extrême urgence". 

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