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  • Bordeaux : tous à vélo avec Vélo-Cité ce samedi, pour garder le pont de pierre sans voiture !

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    Il y aura un an jour pour jour le 1er août prochain, le pont de pierre fermait aux voitures. Une mesure prise à titre expérimental par Bordeaux Métropole. Sera-t-elle pérennisée, ou pas ? Photo archive Ma Planete

    Le 5 juillet 2018, la décision définitive concernant la circulation sur le pont de pierre doit être prise par les élus de Bordeaux Métropole. Ces derniers vont choisir entre pérenniser l'interdiction du point aux voitures particulières, une première du genre en France, ou mettre un terme à une expérimentation menée avec succès depuis le 1er août 2017 piétons, cyclistes, patineurs, joggeurs et usagers des transports en commun sont en effet chaque jour plus nombreux à traverser le pont sans voiture.
     
    Pour Vélo-Cité, on s'en doute, pas question de revenir en arrière sur une mesure qui sécurise les usagers des deux roues en libérant de l'espace pour les bus et les taxis, et qui a donné un sacré coup d'accélérateur au développement de la pratique du vélo en ville.  Aussi, l'association qui milite à Bordeaux en faveur du vélo, bat-elle le rappel des troupes, en invitant ce samedi 30 juin tous les Bordelaises et Bordelais à se mobiliser pour "garder le pont de pierre apaisé". Elle en profite aussi pour faire d'une pierre deux coups, en dénonçant au passage la suppression de la piste cyclable du pont François Mitterrand.  
     
    Comment ça marcher (ou plutôt, comment ça roule) ? 

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  • Energies renouvelables : la France veut faire "place au soleil"

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    "Laissons entrer le soleil !". Alors que le soleil brille de nouveau très fort et que la chaleur prend ses quartiers d'été, l'Hexagone entonne le vieux tube de Julien Clerc et met le cap sur le solaire thermique et le photovoltaïque. La France, qui a participé en avril à la création d'un groupe de pays européens "ambitieux" en matière climatique, entend porter à 32% (contre 22% aujourd'hui et 27% au niveau européen) la part d'énergies renouvelables d'ici 2030, dans le cadre de la loi sur la transition énergétique passée par le gouvernement précédent. Cet objectif du gouvernement en matière de production d’énergie renouvelable dans le pays est inscrit dans le plan "Place au soleil" dévoilé ce jeudi. Comme son nom l’indique, il s'agit de mettre l’accent sur le solaire thermique et sur le photovoltaïque afin de passer à un tiers d'énergie renouvelable d'ici à 2030.

    S'appuyant sur la baisse des coûts de production de l'électricité solaire (55 euros/MW en 2017), le gouvernement souhaite exploiter un gisement évalué par l'Ademe à environ 350 GW sur les toitures françaises, soit 360 000 hectares. 

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  • Mobilité durable et pollution de l'air : selon Greenpeace, les grandes villes françaises ont toutes (plus ou moins) des progrès à faire

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    En 2015, un père de famille emmène son enfant à l’école à Strasbourg, première ville cyclable de France. Photo archives AFP

    Le secteur des transports avec le trafic automobile est le premier responsable de la pollution de l'air, troisième cause de la mortalité en France. Pour évaluer l'action des grandes villes françaises en matière de mobilité durable pour sortir du tout-voiture, Greenpeace a passé au crible les douze plus grandes agglomérations françaises : Bordeaux, Grenoble, Lille, Lyon, Marseille, Montpellier, Nantes, Nice, Paris, Rennes, Strasbourg et Toulouse. 

    L'ONG a dévoilé ce mercredi 27 juin 2018 les résultats de son enquête menée avec l'appui du Réseau Action Climat et les points de vue et témoignages d’une vingtaine d’associations locales de promotion du vélo et d’usagers des transports en commun, selon des critères très précis. Greenpeace a évalué ces douze villes en prenant en compte les restrictions mises en place sur les voitures polluantes, le renforcement de l'offre des transports en commun, la création d'un réseau de vélo et les incitations au changement de comportements.

    Ce panorama de la mobilité durable montre que très peu de villes se sont engagées sur une sortie des véhicules diesel et essence. Quant à l’action des responsables politiques, elle reste insuffisante en matière de développement des alternatives à la voiture, comme le vélo et les transports en commun. 

    En tête du classement, Strasbourg, Paris, Nantes et Grenoble. En queue de peloton, Marseille et Nice. Dans la région, Bordeaux est jugée "trop timide".

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