Pollution : l’air plus pur en Europe, pour cause de coronavirus
Les concentrations de dioxyde d'azote au dessus de la France. Photo ESA
"A quelque chose malheur est bon", si l'on en croit le dicton. Moins de transports, moins de production… Même si personne ne saurait vraiment s'en réjouir, vu le contexte, on observe que dans des pays à l’arrêt ou au ralenti pour cause de coronavirus, la population respire mieux grâce à une réduction de la pollution atmosphérique. Il est toutefois trop tôt pour en mesurer les effets à plus long terme. Et surtout, sans changement profond dans nos modes de vie, cet effet positif ne sera que temporaire.