Initiative : les poubelles souterraines pneumatiques des écovilles

Depuis janvier, les habitants du nouvel écoquartier Clichy-Batignolles disposent d’un système de collecte pneumatique des déchets. Photo ville de Paris
Depuis janvier, les habitants du nouvel écoquartier Clichy-Batignolles à Paris, disposent d’un système de collecte pneumatique des déchets. Ce modèle innovant de gestion des ordures qui concernera à terme tout le quartier, est né en Suède il y a 50 ans et de nombreuses métropoles dans le monde l'ont déjà adopté.
Comment ça marche ?
Dans le 17e arrondissement de la capitale, les habitants des trois premiers immeubles de l’écoquartier Clichy-Batignolles glissent leurs sacs poubelle dans la borne de couleur verte située dans le hall de leur habitation. Grâce à une collecte pneumatique, les ordures sont ensuite acheminées à près de 70 km/h dans des conduites souterraines jusqu’à la centrale d’aspiration, à environ 1,5 km de là, en bordure du boulevard périphérique. Elles sont alors compactées dans des conteneurs qui sont ensuite chargés sur des camions-poubelles, soit pour finir leur vie dans les usines d’incinération, soit pour renaître sous une autre forme, via le recyclage.
Paris, Barcelone, Londres, Montréal, la Chine, la Corée du Sud, le Moyen-Orient...
Aujourd’hui, 2 tonnes de déchets sont ainsi évacuées chaque mois dans l'écoquartier parisien. En 2018, ce seront 300 tonnes et à terme, 19.500 usagers dont 6.500 habitants bénéficieront de ce système innovant. A Barcelone, la capitale catalane, même topo : les 120.000 habitants du Forum et de 22@ peuvent jeter leurs ordures dans des bornes publiques qui aspirent les déchets. Tout comme à Londres, Montréal ou dans ces villes 100% durables clés en main qui jaillissent de terre en Corée du Sud, en Chine et au Moyen-Orient.
Triple intérêt
L'intérêt de cette innovation qui diminue l'impact environnemental de la gestion des déchets est triple: exit une grande partie des camions-poubelles qui encombrent bruyamment les rues tous les matins et les poubelles individuelles, qui sont parfois un vrai casse-tête quand il s'agit de les loger, notamment dans l'habitat ancien. A Bordeaux, on en sait quelque chose. Une fois installée, la collecte pneumatique coûte également moins cher en fonctionnement que les collectes classiques.
Un bon déchet est un déchet qui n'existe pas
Aussi innovantes et écologiques soient-elles, les poubelles souterraines pneumatiques ne doivent toutefois pas faire oublier qu'un bon déchet est un déchet qui n'existe pas. Autrement dit, pour protéger vraiment la planète de la pollution et diminuer le coût de traitement des ordures, il faut d'abord commencer par réduire les emballages, notamment ceux qui sont en plastique, et procéder au compostage des déchets ménagers (épluchures de fruits et de légumes, marc de café, etc.).
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C'est en examinant la diversité génétique des populations anciennes et modernes des manchots que les scientifiques ont pu déterminer les variations de populations à travers le temps. Le nombre de manchots a commencé à augmenter au cours des 12.000 dernières années lorsque les températures ont gagné environ 15 degrés et que la surface de la banquise autour de l'Antarctique s'est progressivement réduite. Jane Younger a précisé que les températures plus chaudes donnaient plus de chances aux oisillons de survivre à l'hiver, lorsque le mercure atteint... moins 45 degrés. Non pas parce que le ressenti du froid, c'est relatif, mais parce que la contraction de la banquise leur permet d'avoir plus facilement accès à la mer pour aller s'y nourrir. 
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co-citoyen et des actions concrètes
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