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Pollution - Page 315

  • Respirer peut nuire gravement à la santé: la pollution de l'air est "cancérigène", selon l'OMS

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    Embouteillage sur la rocade de Bordeaux, 25 janvier 2012. Photo archives Sud Ouest/Thierry David

    La pollution de l'air que nous respirons est bien cancérigène. Telle est la conclusion de l'agence spécialisée sur le cancer de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), qui pointe aujourd'hui du doigt la responsabilité de nombreux secteurs économiques et des modes de transports.

    diesel.jpgDiesel et particules fines

    Le diesel et les particules fines ont déjà été classés dans la catégorie "cancérigène certain" en juin 2012 par le CIRC. Au vu de l'augmentation des maladies respiratoires et de leur corrélation avec les dépassements croissants des seuils admissibles pour la santé de la pollution atmosphérique, on n'en doutait plus vraiment : la pollution de l'air, pour la santé, ce n'est pas bon du tout... On a maintenant la certitude scientifique qu'elle est responsable de nombreux cancers. Après avoir analysé des études portant sur des milliers d'hommes et de femmes suivis pendant plusieurs décennies, les membres de l'agence internationale, réunis à Lyon, sont arrivés à la conclusion jeudi que la pollution de l'air qui nous entoure est cancérigène. Selon eux, "'il existe des preuves suffisantes pour dire que l'exposition à la pollution de l'air extérieur provoque le cancer du poumon". Ils notent également une "association positive avec un risque accru de cancer de la vessie".

    Pollution air.jpg220.000 cancers du poumon

    Selon le CIRC, "'il existe des preuves suffisantes pour dire que l'exposition à la pollution de l'air extérieur provoque le cancer du poumon". L'organisme note également une "association positive avec un risque accru de cancer de la vessie". Les données les plus récentes montrent qu'en 2010, 223.000 personnes étaient décédées d'un cancer du poumon en lien avec la pollution de l'air. "Nous savons maintenant que la pollution de l'air extérieur n'est pas seulement un risque majeur pour la santé en général, mais aussi une cause environnementale de premier plan des décès par cancer", ajoute le docteur Kurt Straif, membre du CIRC. Les personnes les plus exposées à l'air pollué sont les plus vulnérables. Sont-elles plutôt jeunes ou plutôt âgées, principalement des femmes ou au contraire des hommes ? Pour l'instant, les données ne permettent pas une analyse aussi fine.

    pollution chine wuhan.jpgAugmentation de la pollution de l'air

    Les études compulsées par l'agence de l'OMS montrent que, ces dernières années, les niveaux d'exposition à la pollution atmosphérique ont augmenté significativement dans certaines régions du monde, en particulier dans les pays largement peuplés et à croissance industrielle rapide, comme la Chine. Sans diminuer pour autant dans les pays développés. Tel est le cas par exemple, de la France, en Europe, au premier rang des pays où la pollution de l'air tue le plus, comme le revélait une étude scientifique réalisée par la Nasa, publiée en juillet dernier.

    Asthme, bronchites, pneumopathie : un coût de 1,7 milliards d'euros pour la France

    En France, selon un document du Commissariat général au développement durable (CGDD) daté d'octobre, la pollution de l'air coûte de 0,7 à 1,7 milliard d'euros par an au système de soins. L'asthme, avec de 400.000 à 1,4 millions de nouveaux cas par an attribuables à la pollution, est "l'exposition chronique qui est globalement la plus préjudiciable en termes d'impact sanitaire"', avec un coût total situé entre 335.000 euros et 1,1 milliard d'euros. Suivent les bronchites aiguës (950.000 nouveaux cas), les bronchites chroniques (134.000 cas), et les broncho-pneumopathies chroniques obstructives (BPCO, entre 26.000 et 39.500 cas).

    pollution air usine.jpgRéduire la pollution atmosphérique : c'est possible

    Pour le CICR, la situation n'est pas sans remède. "Il y a des façons effectives de réduire la pollution atmosphérique et, étant donné l'ampleur de l'exposition (à la pollution, ndlr) qui touche les personnes à travers le monde, ce rapport devrait envoyer un signal fort à la communauté internationale pour qu'elle agisse sans délai", déclarent les experts. Dans son communiqué diffusé jeudi, l'organisation souligne que les principales causes de la mauvaise qualité de l'air sont principalement les transports, l'industrie, l'agriculture. Et, dans une moindre mesure, de cuisiner et de chauffer son lieu de résidence.  Dont acte.

    Le CIRC publiera ses conclusions de façon plus détaillée le 24 octobre, en les mettant en ligne sur le site The Lancet Oncology.

    Cathy Lafon

    PLUS D'INFO

    • Le rapport du CICR," IARC: Outdoor air pollution a leading environmental cause of cancer deaths" : cliquer ICI

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  • Nucléaire : Fukushima, sous la menace permanente des typhons

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     Des soldats recherchent des survivants après un glissement de terrain provoqué par le passage du typhon Wipha sur l'île d'Oshima, le 16 octobre 2013, à 120 km au sud de Tokyo Photo AFP

    Nouvelle sueurs froides au Japon hier, avec le typhon Wipha  qui prenait la direction de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi. Le pire a finalement été évité. Mais des niveaux de 1 400 à 2 300 becquerels par litre de rayonnements bêta ont été décelés cette nuit dans l'eau d'un fossé menant à la mer. C'est le plus haut niveau de radioactivité mesuré à cet endroit jusqu'à présent.

    thypon,fukushima,centrale nucléaire,sécurité13 morts et une cinquantaine de disparus

    Wipha emportait avec lui des vents atteignant 180 km/h.  Le 26e typhon de la saison en Asie a fait au moins 17 morts, dont 16 sur la petite île japonaise d'Oshima au sud de Tokyo, mais il n'a fait que frôler la capitale japonaise. Plus de trente maisons ont été emportées dans des glissements de terrain sur l'île d'Oshima, à 120 km au sud de la capitale, a rapporté la télévision publique NHK. Une cinquantaine de personne seraient portées disparues. En dehors de cette île, trois autres personnes étaient portées disparues dans la région de Tokyo: deux jeunes garçons sur une plage et un quinquagénaire dont la maison était dans une zone où s'est produit un glissement de terrain, ont précisé les autorités locales. 

    thypon,fukushima,centrale nucléaire,sécuritéLa centrale Fukushima Daiichi, violemment touchée

    A 220 km au nord-est de Tokyo, la centrale dévastée de Fukushima a été violemment arrosée par Wipha dès mardi. Ce qui faisait craindre, au mieux, de nouveaux incidents, notamment à cause de l'eau radioactive qui engorgeait déjà le site avant même le passage de Wipha. Et au pire, l'accident irréparable que constituerait la chute la piscine du réacteur 4, en équilibre instable.

    "5.000 fois la bombe nucléaire d'Hiroshima"

    "Désastre planétaire en puissance", "incendie radiologique catastrophique","radioactivité équivalente à 5 000 fois la bombe nucléaire d'Hiroshima" : telles étaient les craintes relayées par les médias, il y a un an de cela, en cas d'effondrement de la piscine du réacteur 4, dans laquelle sont entreposées 1 535 barres de combustibles, soit 264 tonnes de matières fissiles hautement radioactives. Depuis le 11 mars 2011, ce cube en béton de onze mètres de profondeur repose en effet à trente mètres du sol, sur une structure gravement endommagée et fragilisée par une explosion d'hydrogène survenue quatre jours après le séisme et le tsunami qui ont ravagé le site. Sous sept mètres d'eau, les barres de combustibles, déchargées du cœur du réacteur à la fin 2010 pour maintenance, doivent être constamment refroidies afin d'éviter leur fusion et donc la libération d'immenses quantités d'éléments radioactifs.

    Fukushima : "Titanic "atomique

    On le sait, la situation du site nucléaire, rafistolé et brinquebalant, est loin d'être stabilisée. Les incidents et les fuites d'eau radioactives, dans l'océan et dans le sol, s'y poursuivent. Le mercredi 9 octobre, un accident a blessé 6 des 3.000 ouvriers qui oeuvrent jour et nuit dans des conditions précaires à la décontamination du site, notamment auprès du bâtiment du réacteur 1, où le coeur du réacteur 1 a entièrement fondu. A Fukushima Daiichi, l'exposition à la radioactivité atteint parfois jusqu'à 1 millisievert (mSv) la journée, soit le vingtième de la limite annuelle fixée pour les travailleurs du nucléaire...

    Les précautions de Tepco

    Très controversé pour sa mauvaise gestion de la crise depuis le tsunami et le séisme du 11 mars 2011 qui ont dévasté la centrale nucléaire de Fukushima, le gestionnaire a donc pris les devants en renforçant les fixations d'équipements et la surveillance des zones qui pouvaient être inondées par le typhon. Tokyo Electric Power (Tepco) a ainsi relâché des litres d'eau de pluie accumulée sur le site, en assurant toutefois que la radioactivité de ce liquide était inférieure à la limite légale.

    thypon,fukushima,centrale nucléaire,sécuritéFukushima échappe au pire...

    Mercredi, le coeur de Wipha qui n'a pas touché la terre ferme s'éloignait peu à peu des côtes et de Fukushima, et se trouvait au-dessus de l'océan Pacifique à 120 km à l'est de la préfecture d'Ibaraki en se déplaçant vers le nord-nord-est à la vitesse de 70 km/h. A Fukushima, c'est le soulagement, même si l'on ne connaît pas encore exactement la nature des dégâts causés par les pluies torrentielles.

    Le typhon a entraîné les eaux radioactives encore plus près de l'océan 

    Dans la nuit de mercredi à jeudi,  l'opérateur Tepco a déjà annoncé avoir détecté un niveau de 1 400 becquerels/litre à 150 mètres environ de la mer, et des teneurs supérieures de 2 000 et 2 300 becquerels/litre en deux autres endroits situés plus en amont de ce fossé qui relie une zone du côté montagne, où sont installés des réservoirs d'eau radioactive, à l'océan Pacifique. A suivre...

    Le Japon est traversé chaque année entre le printemps et l'automne par de nombreux typhons dont certains , comme Wipha, d'une rare violence : d'autres sources d'angoisse en perspective pour la centrale de Fukushima, au Japon et dans les pays voisins.

    Cathy Lafon

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    • L'actualité de Fukushima sur Ma Planète: cliquer ICI
  • Les ondes électromagnétiques sont-elles nuisibles pour la santé ? Oui... et non, répond l'Anses

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    L'exposition aux ondes électromagnétiques n'a pas « d'effet avéré » sur la santé, indique l'Anses, qui recommande cependant de limiter l'exposition aux ondes, notamment pour les enfants. Photo AFP

    Téléphone mobile, 4 G, micro-ondes, plaques à induction, wifi dans les écoles et les lieux publics... Nous vivons dans un véritable bain d'ondes. Quel impact sur notre santé ? Durant deux ans, l'Agence nationale sanitaire (Anses) a planché sur la question avec un groupe de 16 experts, avant de rendre son avis le 15 octobre.

    Nocives, les ondes ? Oui... et non

    Oui, l'exposition aux ondes électromagnétiques peut provoquer des modifications biologiques sur le corps. Et non, les données scientifiques disponibles ne montrent pas d'"effet avéré" sur la santé. Et si l'Anses ne juge pas nécessaire de modifier la réglementation qui fixe des seuils limites, elle recommande néanmoins de limiter l'exposition aux ondes, en particulier celles des téléphones mobiles, surtout pour les enfants et les utilisateurs intensifs...  Le point sur une réponse quelque peu alambiquée.

    antennes relais ondes afp.JPG1. La question de la nocivité des ondes électromagnétiques

    Les ondes électromagnétiques sont générées, à des degrés divers, par de nombreux appareils (radios, micro-ondes, téléphones sans fil et portables, systèmes Wifi ou Wimax, radars, télécommandes, micros sans fil, etc.) et par les antennes-relais. En 2009, lors de son dernier avis, l'Anses avait acté l'absence de preuves sur la nocivité des radiofréquences, tout en recommandant déjà la réduction des expositions dès que c'est possible, principalement pour l'usage des téléphones portables, la source d'exposition la plus élevée.

    2. "Peut-être cancérogènes"

    En mai 2011, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) classe les champs électromagnétiques radiofréquences (de 9 à 300 GHz) comme "peut-être cancérogènes". Au vu des interrogations persistantes sur de possibles impacts sanitaires des ondes, l'Anses décide à son tour en 2011 l'instauration d'un dispositif pérenne sur le sujet avec la mise en place du groupe d'experts "radiofréquences et santé" ainsi qu'une instance de dialogue réunissant associations, industriels, syndicats et scientifiques. Un document ministériel de mars 2013, rappelle la position des experts: "une exposition aiguë de forte intensité aux champs électromagnétiques peut provoquer des effets thermiques", soit une augmentation de la température des tissus humains. Et précise par ailleurs que "des interrogations subsistent sur les effets à long terme pour les utilisateurs intensifs de téléphones mobiles".

    stop antennes.jpg3. Des antennes plus petites pour limiter les risques

    Pour empêcher ces effets, des valeurs limites d'exposition ont été élaborées, notamment pour les antennes-relais. Fixées entre 41 volts par mètre (V/m) et 61 V/m (en fonction des technologies), elles sont dans les faits largement en dessous de ces valeurs : en 2010 et 2011, sur 90% du territoire français, les émissions des antennes étaient inférieures à 0,7 V/m. Inquiètes, les associations, comme le Collectif Stop antennes, qui suspectent d'autres effets sur la santé, militent pour une réduction de l'exposition aux ondes de la population et demandent l'abaissement de ce seuil à 0,6V/m. Pour ce faire, il faudrait des antennes plus petites et multiplier leur nombre au moins par trois, a estimé en septembre le Comité d'expérimentation sur les ondes (Copic). Des investissements nécessaires, pour l'eurodéputée écologiste  Catherine Grèze, qui précise qu'"ils ne seraient importants que dans quelques zones ciblées".

    4. Des effets biologiques confirmés

    Avec le déploiement de la technologie 4G sur le territoire français qui va permettre d'avoir sur un smartphone ou une tablette mobile un débit internet équivalent à celui d'une ligne fixe, et l'utilisation grandissante des supports sans fil, les interrogations sur les effets sanitaires des ondes (cancer, fertilité, etc.) vont en augmentant. Autant dire que l'avis de l'Anses était très attendu. L'agence confirme  les effet biologiques d'une exposition aux ondes, qui sont des "changements d'ordre biochimique, physiologique ou comportemental sont induits dans une cellule, un tissu, ou un organisme en réponse à une stimulation extérieure".

    mobiles.jpg5.Sans preuve de lien de causalité avec un effet sanitaire ?

    Si un effet biologique est bien une modification de l'organisme, cette dernière n'est pas toujours synonyme de pathologie. "La dilatation ou la rétractation de la pupille en fonction de l'éclairage ou le changement de la couleur de la peau exposée au soleil sont des exemples d'effets biologiques", explique Dominique Gombert, directeur de l'évaluation des risques à l'Anses. En précisant qu'un effet sanitaire "n'intervient que lorsque les effets biologiques dépassent les limites d'adaptation du système biologique". Or, l'Anses indique ne pas avoir pu "établir un lien de causalité entre les effets biologiques décrits sur l'homme ou l'animal et d'éventuels effets sanitaires". Pourtant, certaines études mettent bien en évidence des effets avérés sur la santé : sommeil, trouble cognitifs, fertilité mâle. D'autres publications, reconnaît aussi l'Anses, évoquent une possible augmentation du risque de tumeur cérébrale sur long terme, pour des usagers intensifs de téléphones portables.

    ondes mesures.jpg6. Limiter l'exposition aux ondes et recommandations

    L'Anses conclut qu'il n'est pas nécessaire de modifier la réglementation qui fixe des seuils limites mais recommande néanmoins de limiter l'exposition aux ondes. En particulier celles des téléphones mobiles, surtout pour les enfants et les utilisateurs intensifs, qui passent chaque jour plus d'une quarantaine de minutes au téléphone. Pour limiter les risques encore non avérés, l'agence fait de multiples recommandation: utiliser un kit mains libres, privilégier des téléphones émettant moins d'énergie (débit d'absorption spécifique), réduire l'exposition des enfants, mieux mesurer l'exposition actuelle de la population, réaliser des études préalables avant l'installation de nouvelles infrastructures, étendre la limitation de l'exposition à d'autres appareils (tablettes, veille-bébé, téléphones sans fil dans les maisons, etc.)...

    7.La déception des associations et des écologistes

    Ce qu'il y a de sûr, c'est que pour le Collectif des Electrosensibles de France et l'association Priartem, le compte n'y est pas. Les représentants des personnes victimes des ondes demandent que leur problématique soit reconnue et traitée comme une "question de santé publique en émergence". Ils proposent par ailleurs la création de zones blanches non couvertes par les réseaux sans fil pour les protéger. Leurs symptômes sont divers et bien réels : vertiges, maux de tête, troubles de la mémoire, de la concentration, du sommeil, picotements, brûlures… Ils avaient le sentiment d'avoir enfin été entendus en juin dernier par le ministère de la Santé.  Or, l'Anses fait l'impasse sur l'électro-hypersensibilité et renvoie la question à une nouvelle expertise qui va démarrer cette année.  Ce qui fait dire à certains que ce rapport est "honteux". De son côté, Etienne Cendrier, porte-parole de l'association Robin des Toits, "déçu" du rapport de l'Anses, regrette que le principe de précaution ne soit pas appliqué et que ce rapport paraisse "plus politique que scientifique".

    belpomme65.jpgLe cancérologue Dominique Belpomme, très virulent, ne partage pas du tout les conclusions du rapport de l'Anses. Selon lui, une utilisation prolongée du téléphone portable aggrave les risques d'Alzheimer et de cancer du cerveau. Et il le fait savoir vertement : pour lui, le rapport de l'Anses ne vaut rien...

    Et le ministre de l'Ecologie, que dit-il ? Plutôt sibyllin, Philippe Martin déclare lui, avoir l'intention de travailler sur "les points atypiques", qui dépassent l'exposition moyenne, tout en restant "dans les limites réglementaires". Ah, bon...

     Cathy Lafon

    PLUS D'INFO

    • "Radiofréquences et santé", mise à jour de l’expertise. Avis de l’Anses, rapport d’expertise collective, 14 octobre 2013 : cliquer ICI
    • Les ondes électromagnétiques, c'est quoi ? Cliquer ICI
    • Le site des électrosensibles en France : cliquer ICI
    • PRIARTéM (Association pour une Réglementation des Implantations d'Antennes Relais): cliquer ICI
    • Le site de la Coordination nationale des collectifs "Stop Antennes" : cliquer ICI 
    • Le site de la CRIIREM : cliquer ICI
    • Le site de Robin des Toits : cliquer ICI
    • Le rapport 2011 de l'OMS : cliquer ICI

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