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ONG - Page 14

  • Mobilité durable et pollution de l'air : selon Greenpeace, les grandes villes françaises ont toutes (plus ou moins) des progrès à faire

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    En 2015, un père de famille emmène son enfant à l’école à Strasbourg, première ville cyclable de France. Photo archives AFP

    Le secteur des transports avec le trafic automobile est le premier responsable de la pollution de l'air, troisième cause de la mortalité en France. Pour évaluer l'action des grandes villes françaises en matière de mobilité durable pour sortir du tout-voiture, Greenpeace a passé au crible les douze plus grandes agglomérations françaises : Bordeaux, Grenoble, Lille, Lyon, Marseille, Montpellier, Nantes, Nice, Paris, Rennes, Strasbourg et Toulouse. 

    L'ONG a dévoilé ce mercredi 27 juin 2018 les résultats de son enquête menée avec l'appui du Réseau Action Climat et les points de vue et témoignages d’une vingtaine d’associations locales de promotion du vélo et d’usagers des transports en commun, selon des critères très précis. Greenpeace a évalué ces douze villes en prenant en compte les restrictions mises en place sur les voitures polluantes, le renforcement de l'offre des transports en commun, la création d'un réseau de vélo et les incitations au changement de comportements.

    Ce panorama de la mobilité durable montre que très peu de villes se sont engagées sur une sortie des véhicules diesel et essence. Quant à l’action des responsables politiques, elle reste insuffisante en matière de développement des alternatives à la voiture, comme le vélo et les transports en commun. 

    En tête du classement, Strasbourg, Paris, Nantes et Grenoble. En queue de peloton, Marseille et Nice. Dans la région, Bordeaux est jugée "trop timide".

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  • Initiative : à Bordeaux, les enfants mangent sans viande une fois par semaine à la cantine

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    Bordeaux fait partie de ces villes trop rares en France, à proposer une fois par semaine un menu sans viande dans les écoles maternelles et primaires. Photo archives Sud Ouest

    Dans l'Hexagone, près de 70 % des écoliers sont obligés de consommer de la viande ou du poisson tous les jours. Tel est le résultat sans appel de la grande enquête nationale lancée par Greenpeace France, fin 2017, sur la consommation de protéines animales dans les écoles françaises. Grâce à plus de 12 000 contributions recueillies aux quatre coins de la France, l’association a pu établir une cartographie de la consommation de viande dans la restauration scolaire, ville par ville.

    En amont de la Journée mondiale sans viande, ce lundi 11 juin, les militants de l'ONG sensibilisent ce week-end le public dans une vingtaine de villes. L'occasion pour les habitants d'interpeller leur maire pour plus de repas végétariens dans les cantines. Comme à Bordeaux, où une carte de France des repas végétariens est exposée au Jardin public, Cours de Verdun, accompagnée de dégustations et de jeux de sensibilisation. 

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  • Pollution de l'air et mobilité : Paris à la traîne des villes européennes modèles

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    Selon Greenpeace, Paris peut et doit faire mieux en matière de pollution de l'air. Photo AFP

    Greenpeace a dévoilé le 21 mai  son classement de la mobilité dans treize grandes villes européennes. Au classement général de ce Top 13 de la mobilité et de la pollution de l'air, Paris se classe septième. Un résultat médiocre. La capitale, dont les rues ne sont pas encore assez sûres pour les usagers non motorisés, notamment les cyclistes, pointe l'ONG, a encore beaucoup d’efforts à faire pour réduire la place de la voiture, développer l’utilisation du vélo au quotidien et devenir plus respirable.

    Sans surprise, en tête de ce classement commandé par l'ONG, trônent trois villes du nord de l'Europe. Copenhague et Amsterdam et Oslo, première, deuxième et troisième du classement, ont, elles, mis les besoins des piétons et des cyclistes au centre de leur planification urbaine, au profit de la qualité de l’air et de la sécurité. Londres, Moscou et Rome, les plus mauvaises élèves, ferment la marche. En revanche, lot de consolation, la capitale française brille pour la qualité de ses transports publics, selon l'étude. Dans ce registre, l'ONG la place en deuxième position, juste après Zurich, en Suisse.

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