Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Ecologie - Page 243

  • Litige de l'EPR d'Olkiluoto : Areva va payer 450 millions d'euros à la Finlande

    EPR Finlande 2.jpg

    Sur le chantier de la centrale OL 3, l'EPR d'Olkiluoto, en Finlande. Photo AFP

    La construction de l'EPR d'Olkiluoto, en Finlande, fait partie de ces dossiers noirs qui plombent le nucléaire français et ont empoisonné la vie du groupe Areva, lourdement endetté, et démantelé progressivement depuis 2016. Le chantier qui accuse dix années de retard et faisait l'objet d'une procédure d'arbitrage au niveau européen, nourrissait un contentieux croisé entre le groupe nucléaire français et l'électricien TVO, son client finlandais, d'un montant de plusieurs milliards d'euros. Un accord a été trouvé ce dimanche entre les deux partie. Fin du litige : Areva SA, l'ancienne holding du groupe, va verser 450 millions d'euros d'indemnités à TVO.

    Lire la suite

  • L'oiseau devinette du lundi

    buse variable 1.jpg

    Quel est donc cet oiseau photographié avec sa proie, le 23 février 2014, à Carbon-Blanc, en Gironde? Photo Alain Noël

    alain noel.jpgChaque lundi, Ma Planète vous invite à découvrir un oiseau de la région, avec une petite énigme proposée par Alain Noël, ornithologue amateur et photographe animalier girondin.

    Notre oiseau mystère de la semaine est un rapace, comme en atteste la photo. La plupart du temps, pour se repaître, il se contente de dépecer les cadavres d'animaux, de toutes tailles, du mulot au ragondin, voire plus gros encore. Voilà pourquoi on le voit souvent perché perché sur un piquet au bord des routes ou des autoroutes, là où les bestioles écrasées ne sont pas rares. Mais il sait aussi attraper des proies vivantes: insectes, rongeurs, reptiles...

    Quel est donc cet oiseau méfiant, qui fuit les hommes mais ne craint pas les voitures ? Langue au chat ? 

    Lire la suite

  • Le livre vert du dimanche : "Le bio, au risque de se perdre"

     critique,livre,frédéric denhez

    Les fruits et légumes labellisés bio, emballés sous vide, vendus par la grande distribution et pas toujours locaux ni de saison, sont-ils vraiment "bio" ? Photo AFP 

    Le saviez-vous ? Dans un an, la bio sera quinqua et soufflera ses 50 bougies. Si elle pouvait produire un extrait de naissance, on y lirait qu'elle est née officiellement à Bordeaux, où s'est tenu le premier congrès de l'agriculture biologique, en 1969. Car c'est alors qu'a été rédigé le cahier des charges et des bonnes pratiques qui a inspiré la première charte du bio, publiée plus tard en 1974 par l'association  Nature et Progrès. Elle-même créée en 1964, pour "promouvoir toutes les méthodes d'agriculture biologique", afin de "sortir du sectarisme, des dogmes et déjà, de dérives mercantiles".

    Une pépite parmi tant d'autres à glaner dans le nouveau livre roboratif et foisonnant d'infos de Frédéric Denhez, "Le bio, au risque de se perdre", publié aux éditions Buchet-Chastel.

    Lire la suite