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  • "Demain, tous crétins ?" Ce soir, Arte ouvre le dossier chaud bouillant des perturbateurs endocriniens

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    Et si l'humanité basculait dans la stupidité ? Baisse du QI, accroissement des troubles du comportement et des cas d'autisme : « Demain, tous crétins ? », l'enquête choc présentée ce soir sur Arte met en évidence l'impact néfaste des perturbateurs endocriniens sur la santé de notre cerveau. Après un documentaire précédent,"Mâles en péril", qui révélait l'impact des polluants sur la fertilité humaine, le nouveau film au titre apparemment potache de Sylvie Gilman et Thierry de Lestrade, très pédagogique et porté par la voix de scientifiques à la pointe de la recherche, dévoile un autre phénomène, peut-être encore plus alarmant. A tel point que certains d'entre eux avouent ne plus en dormir la nuit.

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  • Pollution de l'air : comment la Chine se prépare à en finir avec les voitures à essence

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    Pékin est l'une des mégalopoles les plus polluées au monde. Photo AFP

    De l'Inde au Pakistan, des millions d'habitants suffoquent depuis le début de la semaine. Un phénomène récurrent dû aux émissions des industries et des véhicules combinées à des conditions météorologiques particulières qui empêchent la dispersion des polluants. A tel point que les autorités de New Delhi, la capitale indienne, la ville la plus polluée au monde selon l'OMS, ont pris cette fois-ci des mesures drastiques : elles ont décidé la fermeture des établissements scolaires. Face à l'urgence, le gouvernement indien, a annoncé qu'à l'horizon 2030, "100 % des voitures seront électriques".

    La Chine, le pays le plus peuplé du monde avec 1,4 milliards d’individus, premier plus gros pollueur de la planète et l'un des plus pollués, vient de décider de prendre le problème à bras le corps, avec volontarisme. Le premier marché automobile mondial a annoncé le 11 septembre dernier travailler à un calendrier « pour une interdiction » de la production et de la vente de voitures à carburants fossiles. Un objectif titanesque destiné à améliorer la qualité de l’air, devenue un problème sanitaire national : au-dessus des métropoles chinoises, le smog (mélange de toxique de gaz et de particules) se densifie de jour en jour. Mais aussi à doper dès à présent le développement de l’auto électrique, dans un contexte où les ventes de voitures ne cessent d'augmenter.

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  • Glyphosate : l'Europe n'a toujours pas trouvé d'accord sur l'herbicide controversé

    Article mis à jour le 9/11/2017 à 14 h 30

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    Le Roundup est pointé du doigt depuis le classement, en mars 2015, par l'OMS de son principal composant le glyphosate comme probable cancérogène pour l'homme. Photo AFP

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    Comme on pouvait s'y attendre, l'interminable feuilleton du glyphosate n'a pas connu son dénouement ce jeudi 9 novembre. La licence en Europe de l'ingrédient actif du célèbre désherbant de Monsanto, vendu sous le nom de Roundup, expire le 15 décembre prochain. Le Parlement européen a voté pour la sortie du glyphosate, l’herbicide le plus utilisé au monde, très prisé des agriculteurs mais aussi très controversé pour sa dangerosité potentielle pour la santé : le Centre international de recherche sur le cancer (CICR), une agence de l’Organisation mondiale de la santé, a classé la substance "cancérogène probable" en 2015. Mais la Commission européenne s'entête et a revu déjà cinq fois sa copie pour obtenir la prolongation de son autorisation de la substance.

    "Fier que la France ait tenu bon"

    Après deux ans d’atermoiements, de reports et de polémiques, le glyphosate  est donc revenu une sixième fois aujourd'hui sur la table européenne. Les Etats membres devait voter sur la proposition de la Commission européenne pour décider de la réautorisation pour cinq ans, mais, une nouvelle fois, ils n'ont pas suivi l'exécutif européen pour approuver le renouvellement de la licence du pesticide. La décision est à nouveau reportée. Le ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot, en meilleure forme que ces deux derniers jours, où il s'était attiré les foudres des écologistes par son recul sur le nucléaire, s'est dit "fier" jeudi que la France, qui souhaite un renouvellement de seulement trois ans, ait "tenu bon".

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