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Pollution - Page 216

  • Gironde : ce vendredi, Booking.com s'associe au Porge et à la Surfrider Foundation pour protéger l'océan

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    Le Porge, en Gironde, est engagé depuis longtemps auprès de Surfrider Foundation pour la protection du littoral. Cet été, des sculptures réalisées avec des déchets récoltés sur la plage accompagnées d'un panneau explicatif, sensibilisaient les touristes à la lutte contre la pollution de l'océan. Photo Ma Planète

    En Aquitaine, on connaît bien l'engagement de la Surfrider Foundation en faveur de la préservation de l'océan. Cette année, Booking.com, acteur du tourisme et leader mondial de la réservation d’hébergements en ligne, a voulu rejoindre l'action de l'ONG pour la défense, la sauvegarde, la mise en valeur et la gestion durable de l'océan et du littoral.

    Ce soutien prend la forme d'un partenariat national avec Surfrider, dans le cadre duquel 70 membres des équipes de Booking.com participent aux "Initiatives Océanes" Organisées depuis 20 ans par l'ONG, ces opérations permettent, chaque année, à des centaines de bénévoles de participer au nettoyage du littoral et des cours d’eau, tout en sensibilisant l'opinion à la nécessité de préserver le patrimoine naturel français, en changeant ses pratiques et son comportement. Pour sa première édition, ce partenariat original a retenu trois sites : Paris, Nice, et la plage du Porge, en Gironde, un village très impliqué aux côtés de l'ONG dans la protection de l'environnement qui a notamment lancé il y a deux ans une opération estivale inédite, "Plage zéro poubelle", afin d'inciter les touristes à diminuer le volume de leurs déchets et à les remporter chez eux. Avec succès.

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  • Pesticides: " A la salade, je suis malade, au céleri, je suis guérie ?"

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    Photo AFP

    Plus d'une salade sur 10 qui atterrit dans nos assiettes contient des produits chimiques et des pesticides interdits depuis des dizaines d'années, selon l'étude EXPPERT 5 (EXPosition aux PERTurbateurs endocriniens) menée par l'association environnementale Génération futures et révélée par le Parisien ce mardi. Ces salades, qui ne sont pas cultivées en bio, il faut le préciser, contiendraient également de nombreux perturbateurs endocriniens.

    L'association "Générations Futures" en lutte contre les produits phytosanitaires, n'en est pas à son premier fait d'arme. L'ONG écologiste a déjà dénoncé la présence de résidus de pesticides dans les fraises, en 2013, ou encore dans le vin, en alertant sur leur danger potentiel pour la santé des travailleurs de la vigne en Gironde, et, plus largement, celle des consommateurs. D'après François Veillerette, le porte-parole de l'association, 16 % des salades contiennent la trace de cinq produits chimiques interdits en France. «Nous ne nous y attendions pas du tout, a-t-il confié , au Parisien. Avec près d'une salade sur 5 concernée, ce n'est pas du tout anecdotique».

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  • La pollution automobile nuit à la santé des enfants

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    La pollution de l'air nuit aux enfants qui habitent près des routes à fort trafic. Photo AFP

    Les différentes formes de pollution générées par les activités humaines ont un impact sur la santé des plus fragiles, notamment les enfants. Après l'étude de l'Institut national de veille sanitaire (INVS) conduite en 2013 et révélée en août dernier, qui fait état d'un éventuel lien entre des cancers d'enfants et l'épandage de pesticides dans des vignes voisines de l'école de Preignac (Gironde), les scientifiques pointent la pollution automobile.

    Selon l'INVS, neuf cas de cancers pédiatriques ont été relevés de 1990 à  2012 dans la petite ville de Preignac et neuf autres communes limitrophes de Gironde, soit un taux de cancer infantile six fois supérieur à la  moyenne nationale à Preignac et dans les communes alentours, supérieur de 66%. Une autre étude, conduite récemment par des chercheurs de l'Inserm, montre que les enfants qui vivent à proximité d'axes routiers à fort trafic ont un risque accru de certains cancers rares pour l'enfant, peut-être dû à l'exposition au benzène. Publiée dans l'"American Journal of epidemiology", l'étude, une première par son ampleur, a été réalisée en Île-de-France.

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