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Environnement - Page 479

  • #COP21. Changement climatique : pour réduire les gaz à effet de serre, les comptes ne sont pas bons

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    Pour stabiliser le climat en dessous de 2°C d'ici à 2100, il faudra mettre fin à l'exploitation des énergies fossiles. Photo AFP

    Sur le papier, l'objectif de la COP21, le sommet international sur le climat qui s'ouvrira dans un mois à Paris et durera jusqu'au 11 décembre, est simple : limiter à 2° C l’augmentation moyenne de la température sur Terre, d’ici à 2100. A défaut, il faudra se préparer à des catastrophes naturelles de grande ampleur et à un afflux sans précédent de réfugiés climatiques, et mutations économiques violentes. C'est clair : il ne faut pas se rater.

    2,7° C

    D'ici là, c'est comme pour la Danette : tout le monde se lève -  plus ou moins -  pour la planète. Dans ce grand charivaris écologique, planétaire et local, où chacun rivalise de bonnes intentions pour réduire les gaz à effet de serre, on ne compte plus les initiatives durables, macro et micro-locales, destinées à "sauver le climat".

    Léger bémol: les 150 pays qui doivent s'entendre à Paris pour réduire leurs émissions de CO2 afin de stabiliser le changement climatique, manquent encore un poil d'enthousiasme. Pour l'heure, selon l'ONU, pour peu que leurs engagements soient respectés à la lettre, ce qui est encore une autre paire de manche, on n'arriverait qu'à 2,7°C.

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  • #COP21. Energie éolienne : l'Allemagne en pointe

     

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    En Allemagne, les vaches et les moutons cohabitent avec les éoliennes. Photo AFP

    Quand on vous dit que les énergies renouvelables ont le vent en poupe ! Dans le cadre de sa transition énergétique, l’Allemagne veut faire des énergies vertes sa principale source d’énergie – elles doivent représenter 80% de la consommation d’électricité à l’horizon 2050. Parmi elles, le vent se taille la part du lion.

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  • #Sivens : il y a un an, la mort de Rémi Fraisse

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    Rémi Fraisse est décédé le 26 octobre 2014, après une manifestation contre le projet de barrage de Sivens, dans le Tarn. Archives AFP

    remi fraisse 2.jpegRémi Fraisse, un jeune botaniste, militant pacifiste écologiste de 21 ans (photo ci-contre), est mort dans la nuit du 25 au 26 octobre 2014, peu avant 2 heures du matin, sur le site de la construction contestée du barrage de Sivens (Tarn), après avoir été atteint par une grenade offensive lancée par un chef de groupe du 4e peloton de l’escadron de gendarmerie mobile de La Réole (Gironde). Depuis plusieurs heures, des gendarmes mobiles retranchés affrontaient de petits groupes de manifestants. Dans l’après-midi du 25, un grand rassemblement avait réuni opposants et personnalités politiques à plusieurs centaines de mètres de là.

    "L'enquête recule"

    Dans son édition en ligne du 23 octobre 2015le journal "Le Monde", qui a pu prendre connaissance du retour de commission rogatoire déposé en mars par l’Inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN) sur le bureau de la juge Anissa Oumohand, chargée de l’instruction ouverte pour "violences par une personne dépositaire de l’autorité publique ayant entraîné la mort sans intention de la donner", dénonce une enquête de la gendarmerie "bâclée". "Le Monde" explique qu'au lieu d'avancer, même lentement, comme souvent dans les enquêtes pour violences policières, "l'enquête sur la mort de Rémi Fraisse recule". Le quotidien national écrit que "Pour l’essentiel, les gendarmes n’ont pas enquêté sur les faits, mais sur le climat qui régnait sur la ZAD (zone à défendre) du projet de barrage de Sivens dans les semaines qui les ont précédés – dont la violence justifierait la réplique de la nuit du 25 au 26 octobre – et sur la personnalité de la victime – totalement et irrémédiablement pacifique".

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