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Ces tubercules de manioc peuvent devenir un sac biodégradable. Photo AFP
Tout l'été, Ma Planète vous fait découvrir les bonnes initiatives d'ici et d'ailleurs, ces petits (ou gros) coups de pouce qui améliorent le quotidien et embellissent la planète. Aujourd'hui, les emballages verts de Madagascar fabriqué à partir du manioc.
Le plastique n'a vraiment rien de fantastique. C'est au contraire une source de pollution majeure pour la planète et notamment pour les océans, où atterrissent chaque année, de 6,5 à 8 millions de tonnes de déchets plastiques, soit 206 kilos par seconde, avec un impact dramatique sur la faune marine et les récifs coralliens.
Dans les rues de Delhi, l'une des villes les plus polluées au monde et qui doit faire face à des vagues de chaleur intense, comme ici, le 28 mai 2018. Photo AFP
Tout l'été, Ma Planète vous fait découvrir les bonnes initiatives d'ici et d'ailleurs, ces petits (ou gros) coups de pouce qui améliorent le quotidien et embellissent la planète. Aujourd'hui, des habitants de Delhi se mobilise pour sauver des arbres que la municipalité veut abattre.
C'est une triste réalité bien connue de tous : en Inde, Delhi est l'une des villes les plus polluées au monde, où le mercure peut monter au-delà de 45°C. La ville envisage pourtant froidement d'abattre 16 500 arbres, pour construire des logements... et des routes. Une mesure qui suscite l'incompréhension de nombreux habitants de la capitale. En juin dernier, au terme d'un épisode de pollution particulièrement intense où la concentration en particules fines a atteint 25 fois la limite fixée par l'OMS, des citoyens et des associations de Delhi ont décidé de passer à l'action, en lançant une campagne sur Facebook, intitulée «Delhi Trees SOS».
Le 18 juin 2018, ils ont également lancé une pétition en ligne,"Save Delhi's Trees", qui a déjà recueilli plus de 65 000 signatures sur Internet, et déposé un "litige d'intérêt public" devant la Haut Cour de Delhi.
L’abattage a déjà commencé mais, devant cette mobilisation, le programme avait été stoppé jusqu'au 4 juillet, date d'une nouvelle audition des différentes parties.
Selon un rapport de l’Organisation des Nations unies, publié le 21 juin 2018, la pollution de l’air a tué environ 4,2 millions de personnes au monde en 2016.
Au Gabon, on équipe les éléphants de collier à puce pour les suivre à la trace. Photo AFP
Tout l'été, Ma Planète vous fait découvrir les bonnes initiatives d'ici et d'ailleurs, ces petits (ou gros) coups de pouce qui améliorent le quotidien et embellissent la planète. Aujourd'hui, ces nouvelles technologies qui protègent la faune sauvage en Afrique.
Avez vous déjà essayé de poser un collier à un éléphant ? En apparence plutôt incongrue, cette question est au coeur d'un ambitieux programme de l'Agence nationale des parcs nationaux (ANPN) du Gabon, qui vise à suivre les pachydermes par GPS, étudier leurs déplacements pour, à terme, les protéger des braconniers.