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Alimentation - Page 67

  • Faites le plein d'énergie avec les super-fruits séchés bio de Fragrances

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    Dur, dur ce début d'année... Les horreurs des attentats parisiens contre "Charlie Hebdo", puis contre le supermarché casher, nous laissent un profond sentiment de tristesse et d'inquiétude, avec la sensation d'avoir vécu plusieurs semaines en une seule. Les mois de janvier et de février sont aussi les mois les plus difficiles de l'année. C'est le plein coeur de l'hiver, les jours, même s'ils rallongent, sont courts. Le temps est maussade et on a le moral dans les chaussettes: rien d'étonnant à ce que l'on se sente épuisé et sur les rotules.

    La solution: les super-fruits séchés

    Pour retrouver le tonus, au lieu de recourir à une pharmacopée chimique traditionnelle, c'est le moment d'aller à la découverte des fruits séchés, bio et bons pour la santé, comme ceux que propose Fragrances Bien-être, une toute jeune entreprise créée dans la région en Charente, par Florence Jacquet. Spécialisée dans la sélection de produits à base de composants naturels et bio, de très grande qualité, à un prix abordable pour tous, Fragrances Bien-être a lancé il y a un an, une gamme de super-fruits séchés bio : des  mûres blanches,  des baies de Goji, du Tibet, des myrtilles, des baies des Incas,  des canneberges, du baomix...  Au petit-déjeuner avec les céréales ou un yaourt, dans des préparations de gâteaux, en en-cas pour le coup de pompe de 4 heures au boulot : Ma planète les a tous testés. Ils sont délicieux ! Quant à leur efficacité, voyez plutôt la vitalité de votre blog préféré...

    L'intérêt ?

    mures blanches.jpgSelon Florence Jacquet, les super-fruits séchés contiennent jusqu'à 5 fois plus de minéraux que les fruits frais. Leur concentration en fibres est aussi beaucoup plus importante, ce qui favorise l'élimination du cholestérol. Deux des fruits séchés proposés par Fragrances, peu connus, ont d'étonnantes vertus bienfaisantes. C'est le cas des mûres blanches, cultivées en Turquie et encore peu répandues en Europe. Très savoureuses, elles sont riches en fer, en calcium, en vitamine C, en fibres et en protéines. Elles possèderaient, en outre,  des agents "anti-vieillissement", contenus dans le resvératrol... Ce qui ne gâte rien.

    Le baomix, fruit du baobab

    baomix.jpgAutre fruit méconnu, celui du baobab, dont la pulpe, le baomix, venu du Sénégal, a un goût sucré et acidulé. On le consomme généralement en poudre dans des préparations culinaires : cocktails, jus de fruits, verre d'eau, verre de lait, yaourt...  Pour lutter contre le stress et la fatigue passagère, c'est l'arme naturelle fatale: garanti sans gluten, le baomix de Fragrances contient 7 fois plus de vitamines C que l’orange, 3 fois plus de calcium que le lait et et possède des propriétés régénérantes. Recommandé aux enfants en phase de croissance, aux étudiants, aux séniors, ce fruit séché est également le partenaire nutritif idéal des sportifs.

    S'ils ne sont pas produits localement (les baies de goji des moines tibétains viennent de Chine, les myrtilles des Etats-Unis, les baies des Incas, du Pérou et les canneberges du Canada) tous les produits de Fragrances, vendus en ligne sur internet, sont issus de l'agriculture biologique et du commerce équitable. Les heureux Charentais qui ont la chance de pouvoir les retirer sur place, ne paieront pas les frais de port.

    Cathy Lafon

    COMBIEN CA COÛTE ?   

    • Les mûres séchées : 12,50 € le sachet de 400 g
    • Les myrtilles :  7 €  les 100 g
    • Les canneberges : 5  les 100 g
    • Les baies de Goji : 21 € les 500 g
    • Les baies des Incas (physalis) : 8,50 € les 200 g
    • Le baomix : 9 € les 100 g

    Les heureux Charentais qui ont la chance de pouvoir les retirer sur place, ne paieront pas les frais de port.

    PLUS D'INFO

  • Croissance verte: "Triman", un nouveau logo pour les produits recyclables

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    Le nouveau logo "Triman",  destiné à inciter au recyclage, est déjà présent sur certaines bouteilles et canettes d'Orangina et de Schweppes.

    L'avez-vous vu ? Les produits de consommation recyclables ont un nouveau logo depuis le 1er janvier : un bonhomme tendant la main vers trois flèches. Bienvenue au "Triman" ! La mise en place de ce logo, né du Grenelle de l'Environnement, était initialement prévue dès 2012. Mais elle s'est heurtée à une forte opposition, notamment des industriels, qui ont invoqué son coût et le fait que, selon eux, il allait encore complexifier la signalétique du tri.
     
    Quels produits sont concernés ?
     
    recyclage,logo,industrie,produitLe pictogramme doit figurer sur tous les produits mis sur le marché, pouvant faire l'objet d'un recyclage de manière effective, afin d'informer le consommateur par une signalétique commune que ceux-ci relèvent d'une consigne de tri. A défaut, il peut figurer sur l'emballage, la notice ou tout autre support y compris dématérialisé", c'est-à-dire sur un site internet, ajoute le texte.  En revanche, certains produits recyclables - piles, accumulateurs usagés, déchets d'équipements électriques et électroniques, déchets ménagers des produits chimiques- ne sont pas concernés par le "Triman", pas plus que le verre.
     
    La satisfaction de l'Ademe

    La mise en oeuvre d'une signalétique commune doit "permettre une importante simplification du geste de tri du citoyen et contribuer à l'augmentation des performances des collectes séparées et du recyclage", souligne le décret. "On est content. L'intérêt du Triman est de valoriser les produits et emballages recyclables et qui sont effectivement recyclés", se réjouit-on à l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe). "L'ambition à terme" est que ce nouveau logo "devienne un des critères de choix des consommateurs dans leurs actes d'achat et donc un facteur de différenciation pour les entreprises", ajoute-t-elle.

    Recyclage : objectif 60% en 2025

    Le "Triman" est déjà présent sur quelques emballages dont des bouteilles et canettes d'Orangina et de Schweppes. Les pouvoirs publics espèrent qu'il poussera les industriels à investir dans des produits plus écologiques. Actuellement, 42% des emballages et papiers collectés par le service public de la gestion des déchets sont recyclés, selon l'Ademe. L'objectif est d'arriver à 60 % en 2025 selon le projet de loi de transition énergétique pour la croissance verte.

    Cathy Lafon

    LIRE AUSSI

    • Les articles de Ma planète sur le recyclage des déchets : cliquer ICI
    • Le décret d'application du logo "Triman" : cliquer ICI
  • Agriculture : les pesticides en hausse en 2013

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    Un champ près de Lens (Nord-Pas-de-Calais), le 24 juin 2014. Photo AFP  

    Mauvaise nouvelle : après un mieux en 2012, l’utilisation de pesticides agricoles en France s’est accrue de 9,2% en 2013, témoignant de la "difficulté à inverser de vieilles pratiques", a annoncé en décembre dernier le ministère de l’Agriculture, à la veille de la remise d’un rapport sur le sujet.

    pesticides,phytosanitaireToujours plus de pesticides

    En cause, selon le ministère, le printemps qui a été exceptionnellement humide en 2013, ce qui a favorisé la prolifération de champignons, de limaces et mauvaises herbes, a expliqué le ministère dans un communiqué. En réalité, c'est un vrai revers pour le plan Ecophyto lancé en 2008 pour réduire de moitié le recours aux pesticides d'ici à 2018, car, si leur utilisation avait diminué pour la première fois de 6% en 2012, entre 2009 et 2013, l’emploi de produits d’agrochimie reste en hausse de 5%.

    L'agroécologie, oui, mais...

    A son arrivée en mai 2012, le ministre socialiste de l’Agriculture Stéphane Le Foll avait d'ailleurs pris ses distances avec l'objectif chiffré par le précédent gouvernement, tout en tentant de changer durablement les pratiques de production avec l’agroécologie. Intention louable, mais, pour l’heure, force est de constater que ces politiques n’ont pas encore réussi à porter leurs fruits. Pour autant le tableau ne serait pas si noir, selon Patrick Dehaumont, directeur général de l’Alimentation.

    "Zéro pesticides" dans les espaces verts

    pesticides,phytosanitaireD’abord parce que dans les zones non agricoles (jardins publics, cimetières…), explique-t-il, l’utilisation des produits phytosanitaires a baissé de près de 8% en 2013 et de 3,4% depuis 2009. Ce qui témoigne de l’engagement des collectivités à changer leurs pratiques. Une évolution encourageante, sachant que la ministre de l’Écologie Ségolène Royal envisage d’interdire l’usage des pesticides dans les jardins publics fin 2016.

    « Le poste herbicides reste néanmoins le plus difficile à réduire »

    De plus, le plan Ecophyto a aussi permis de « faire le grand ménage dans les molécules les plus dangereuses » et de « mettre en place un réseau de 2.000 fermes pilote dans le développement de pratiques et de programmes de recherche », ajoute Patrick Dehaumont, interrogé par l’AFP. Des résultats « encourageants » ont en effet été observés dans ce réseau de fermes baptisé Dephy. « Le nombre de traitements moyen depuis l’entrée des fermes dans le réseau a diminué en 2013 de 12% pour les grandes cultures et la polyculture-élevage et de 11% pour l’arboriculture », détaille encore le ministère de l’Agriculture.

    Repousser de 7 ans l'objectif initial

    pesticides,phytosanitaireBaptisé "Pesticides et agro-écologie : les champs du possible", un rapport remis à Manuel Valls le 23 décembre dernier par Dominique Potier, député PS de Meurthe-et-Moselle, entend inverser la tendance et formule 68 recommandations pour mettre en œuvre une nouvelle version du plan Ecophyto prévue en 2015. Le député socialiste propose notamment, de maintenir "l'objectif grenellien mais en le réalisant en deux temps d'ici 2025". Petit problème: cela revient à prendre 7 ans de retard sur l'objectif initial...  Dans son rapport, le député socialiste considère "qu'il ne faut pas abandonner le plan au nom de son apparente inefficacité, mais plutôt le reconcevoir en étendant son emprise à des leviers nouveaux [dont l'agroécologie, NDLR], et en améliorant sa cohérence avec l'ensemble des politiques publiques et stratégies économiques ayant un lien direct ou indirect avec les pratiques phytosanitaires".

    On peut aussi se dire qu'il faudrait surtout arrêter de tourner autour du pot pour en finir avec les pesticides, dont on sait qu'ils sont néfastes pour la santé humaine: de nombreux retours d'expériences en France et à l'étranger montrent désormais qu'une agriculture sans phytosanitaires, biologique ou raisonnée, est bien plus productive qu'on ne le croit. Quant au zéro phyto dans les espaces verts, s'il est nécessaire, au regard de l'utilisation massive des pesticides dans l'agriculture productiviste conventionnelle, son impact est assez dérisoire: les milieux non agricoles ne représentent en effet que 5 % de l'usage des produits phytosanitaires (pesticides et fongicides) en France, contre 95 % pour les agriculteurs.

    Cathy Lafon

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