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Actualité - Page 425

  • Gironde : ce vendredi, Booking.com s'associe au Porge et à la Surfrider Foundation pour protéger l'océan

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    Le Porge, en Gironde, est engagé depuis longtemps auprès de Surfrider Foundation pour la protection du littoral. Cet été, des sculptures réalisées avec des déchets récoltés sur la plage accompagnées d'un panneau explicatif, sensibilisaient les touristes à la lutte contre la pollution de l'océan. Photo Ma Planète

    En Aquitaine, on connaît bien l'engagement de la Surfrider Foundation en faveur de la préservation de l'océan. Cette année, Booking.com, acteur du tourisme et leader mondial de la réservation d’hébergements en ligne, a voulu rejoindre l'action de l'ONG pour la défense, la sauvegarde, la mise en valeur et la gestion durable de l'océan et du littoral.

    Ce soutien prend la forme d'un partenariat national avec Surfrider, dans le cadre duquel 70 membres des équipes de Booking.com participent aux "Initiatives Océanes" Organisées depuis 20 ans par l'ONG, ces opérations permettent, chaque année, à des centaines de bénévoles de participer au nettoyage du littoral et des cours d’eau, tout en sensibilisant l'opinion à la nécessité de préserver le patrimoine naturel français, en changeant ses pratiques et son comportement. Pour sa première édition, ce partenariat original a retenu trois sites : Paris, Nice, et la plage du Porge, en Gironde, un village très impliqué aux côtés de l'ONG dans la protection de l'environnement qui a notamment lancé il y a deux ans une opération estivale inédite, "Plage zéro poubelle", afin d'inciter les touristes à diminuer le volume de leurs déchets et à les remporter chez eux. Avec succès.

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  • Energies renouvelables : la France doit (et peut) absolument combler son retard, avertit Greenpeace

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    Eoliennes près de Vierzon (Centre). Photo archives AFP

    La France accuse un retard économique colossal dans le secteur des énergies renouvelables, par rapport à la concurrence internationale. Tel est le message que veut envoyer Greenpeace, à deux mois de la Conférence internationale sur le climat qui doit s'ouvrir à Paris à la fin du mois de novembre, à la faveur de deux rapports publiés ce lundi. Dans le premier, "La manne inexploitée des renouvelables", l'ONG dénonce le manque d'exemplarité écologique de l'Hexagone. Le pays organisateur de la COP21 présente en outre une véritable anomalie industrielle, au regard de son savoir-faire et de ses compétences, due, selon Greenpeace, au choix du tout-nucléaire et à la centralisation du système de distribution de l'énergie dans le pays.

    Un mauvais bilan d'autant plus regrettable que, selon le deuxième rapport publié par l'ONG au niveau mondial, le scénario "100% d'énergies renouvelables pour tous", renoncer totalement aux énergies fossiles d'ici à 2050 au profit des énergies renouvelables créerait des millions d'emplois dans le monde et des milliers en France, et serait compétitif en termes de coûts.

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  • Pesticides: " A la salade, je suis malade, au céleri, je suis guérie ?"

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    Photo AFP

    Plus d'une salade sur 10 qui atterrit dans nos assiettes contient des produits chimiques et des pesticides interdits depuis des dizaines d'années, selon l'étude EXPPERT 5 (EXPosition aux PERTurbateurs endocriniens) menée par l'association environnementale Génération futures et révélée par le Parisien ce mardi. Ces salades, qui ne sont pas cultivées en bio, il faut le préciser, contiendraient également de nombreux perturbateurs endocriniens.

    L'association "Générations Futures" en lutte contre les produits phytosanitaires, n'en est pas à son premier fait d'arme. L'ONG écologiste a déjà dénoncé la présence de résidus de pesticides dans les fraises, en 2013, ou encore dans le vin, en alertant sur leur danger potentiel pour la santé des travailleurs de la vigne en Gironde, et, plus largement, celle des consommateurs. D'après François Veillerette, le porte-parole de l'association, 16 % des salades contiennent la trace de cinq produits chimiques interdits en France. «Nous ne nous y attendions pas du tout, a-t-il confié , au Parisien. Avec près d'une salade sur 5 concernée, ce n'est pas du tout anecdotique».

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