Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

MaPlaneteA - Page 818

  • Qualité de l'air : alerte pic de pollution SIR particules en suspension dans l'agglomération bordelaise

    prévention,pollution air,chauffage

    Qualité de l'air, mardi 11 décembre 2012. L'indice de la qualité de l'air   sur l'agglo bordelaise est mauvais (9). Pour la troisième journée consécutive, Airaq déclenche une alerte PIC DE POLLUTION  - SIR (seuil d'information et de recommandation) particules en suspension.

    Les conditions météorologiques anticycloniques associées aux émissions polluantes ont favorisé l'accumulation progressive des concentrations en particules en suspension sur l'agglomération.

    La formation des particules en suspension

    Les particules se distinguent entre elles par leur taille. Celles dites "respirables" sont celles qui ont un diamètre aérodynamique moyen inférieur à 10 µm (particules en suspension notées PM10). Leur taille est suffisamment faible pour rentrer dans les poumons. Elles sont générées par les activités humaines telles que le chauffage domestique, le trafic automobile, l'agriculture ou encore les industries. 

    Les effets sur la santé des particules en suspension

    Les particules en suspension constituent des polluants relativement complexes de par leur granulométrie (elles pénètrent d’autant plus profondément dans l’appareil respiratoire que leur diamètre est faible), et de par leur composition chimique (elles peuvent contenir des produits toxiques, voire cancérigènes). 

    Airaq préconise un certain nombre de recommandations sanitaires et civiques concernant ce taux de pollution.  C'est aussi l'occasion de prendre les transports en commun plutôt que sa voiture.  En savoir plus : CLIQUER ICI

    Cathy Lafon 

    LIRE AUSSI

  • Planète vidéo. La pollution de l'air à New York, comme si vous y étiez

    nyc.jpg

    La pollution par le CO3 à New York, matérialisée par la vidéo documentaire de Carbon Visuals Photo DR

    Le saviez-vous ? En 2010, New York City a balancé la bagatelle de 54 millions de tonnes de dioxyde de carbone dans l'atmosphère. Hé hop ! Cadeau empoisonné pour la planète : elle n'avait pas vraiment besoin des émissions new yorkaises pour accroître la masse exponentielle des gaz à effet de serre qui encombrent l'air que nous respirons. Et contribuent au réchauffement climatique.

    Heu... 54 millions de tonnes de CO2, ça fait beaucoup, non ? Oui. Mais, au fait, ça représente quoi dans l'air ?

    Bonne question. Si on peut sentir les effets de la pollution sur sa santé, ou la mesurer à ses conséquences sur le changement climatique, l'apparence de l'air qu'on respire reste globalement la même, même si des brumes de pollution brouillent à l'occasion l'atmosphère. Alors, comment matérialiser cette colonisation abstraite de l'atmosphère par les émissions de CO2, ce redoutable gaz à effet de serre, responsable à 85 % de l'effet de serre additionnel de la planète ? Pour nous aider à concrétiser le phénomène, il existe une web-vidéo pédagogique très efficace. Signalée à Ma Planète par Sébastien, un internaute bordelais, elle ne fait pas vraiment la pub pour la qualité de l'air au royaume d'Obama et de l'"american dream" : asthmatiques et claustrophobes s'abstenir ! Vous voilà prévenus.

    PLUS D'INFO

    LIRE AUSSI


  • Qualité de l'air : alerte pic de pollution SIR particules en suspension dans l'agglomération bordelaise

     

    prévention,pollution air,chauffage

    Qualité de l'air, dimanche 9 décembre 2012. Airaq déclenche une alerte PIC DE POLLUTION  - SIR( seuil d'information et de recommandation) particules en suspension sur l'agglomération bordelaise.  

    Les conditions météorologiques anticycloniques associées aux émissions polluantes ont favorisé l'accumulation progressive des concentrations en particules en suspension sur l'agglomération.

    La formation des particules en suspension

    Les particules se distinguent entre elles par leur taille. Celles dites "respirables" sont celles qui ont un diamètre aérodynamique moyen inférieur à 10 µm (particules en suspension notées PM10). Leur taille est suffisamment faible pour rentrer dans les poumons. Elles sont générées par les activités humaines telles que le chauffage domestique, le trafic automobile, l'agriculture ou encore les industries. 

    Les effets sur la santé des particules en suspension

    Les particules en suspension constituent des polluants relativement complexes de par leur granulométrie (elles pénètrent d’autant plus profondément dans l’appareil respiratoire que leur diamètre est faible), et de par leur composition chimique (elles peuvent contenir des produits toxiques, voire cancérigènes). 

    Airaq préconise un certain nombre de recommandations sanitaires et civiques concernant ce taux de pollution.  En savoir plus : CLIQUER ICI

    Cathy Lafon 

    LIRE AUSSI