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pollution de l'air - Page 9

  • Pollution de l'air : la qualité de l’air à Pékin s’est nettement améliorée en 2017

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    Pékin sans smog, le 6 janvier 2018. Photo AFP

    Bonne nouvelle : le ciel de la capitale chinoise était inhabituellement bleu fin 2017, une saison où le smog de pollution s’abat en général sur la ville... Et ça continue en 2018. Un indice de la nette amélioration de la qualité de l’air à Pékin en 2017, où les indicateurs atteignent leurs meilleurs niveaux depuis le lancement de mesures de contrôle de la pollution, il y a cinq ans. Ce bon résultat traduit aussi l'ambition verte de la Chine, premier pollueur mondial, bien décidée à conquérir le leadership mondial pour les énergies propres et renouvelables dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique.

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  • Qualité de l'air : pic de pollution en Gironde

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    En cas de pollution de l'air, comme ces jours-ci, mieux vaut éviter de faire son footing... Photo archives Ma Planète

    La pollution aux particules fines est de retour à Bordeaux. Depuis lundi, les yeux vous piquent et le nez vous gratte, vos sinus sont en feu, vous vous raclez la gorge et vous toussez... Il fallait s'y attendre : dans la nuit du 19 au 20 novembre, les concentrations en particules fines en suspension (PM10) ont fortement augmenté en raison des conditions météorologiques anticycloniques et froides associées à de fortes émissions de polluants lié au trafic automobile et au chauffage au bois, piégés au-dessus du sol. 

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  • Pollution de l'air : comment la Chine se prépare à en finir avec les voitures à essence

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    Pékin est l'une des mégalopoles les plus polluées au monde. Photo AFP

    De l'Inde au Pakistan, des millions d'habitants suffoquent depuis le début de la semaine. Un phénomène récurrent dû aux émissions des industries et des véhicules combinées à des conditions météorologiques particulières qui empêchent la dispersion des polluants. A tel point que les autorités de New Delhi, la capitale indienne, la ville la plus polluée au monde selon l'OMS, ont pris cette fois-ci des mesures drastiques : elles ont décidé la fermeture des établissements scolaires. Face à l'urgence, le gouvernement indien, a annoncé qu'à l'horizon 2030, "100 % des voitures seront électriques".

    La Chine, le pays le plus peuplé du monde avec 1,4 milliards d’individus, premier plus gros pollueur de la planète et l'un des plus pollués, vient de décider de prendre le problème à bras le corps, avec volontarisme. Le premier marché automobile mondial a annoncé le 11 septembre dernier travailler à un calendrier « pour une interdiction » de la production et de la vente de voitures à carburants fossiles. Un objectif titanesque destiné à améliorer la qualité de l’air, devenue un problème sanitaire national : au-dessus des métropoles chinoises, le smog (mélange de toxique de gaz et de particules) se densifie de jour en jour. Mais aussi à doper dès à présent le développement de l’auto électrique, dans un contexte où les ventes de voitures ne cessent d'augmenter.

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