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La future cité maraîchère de Romainville. Image de synthèse du projet. DR iimelgo et Secousses architectes.
Solution pour une alimentation durable et de meilleure qualité (à défaut d'être autosuffisante, un objectif bien difficile à atteindre), l'agriculture urbaine cherche en ville des espaces pour produire fruits et légumes localement. Pour répondre à cette demande, le concept des fermes verticales, ces serres "gratte-ciels" agricoles et maraîchères, s'est développé dans les mégalopoles asiatiques, au Japon, en Chine et à Singapour, en manque furieux de terres disponibles pour être cultivées.
L'Europe veut interdire des produits en plastique jetable à usage unique qui, collectivement, représentent 70% des déchets marins en Europe. Photo AFP
En 2050, si on ne fait rien, il y aura plus de plastique que de poissons dans les océans. Le point sur un fléau mondial pour le climat, les écosystèmes marins et notre santé… Avec un tour d'horizon des initiatives, citoyennes et gouvernementales autour du globe pour "déplastifier" la planète.
Après une vaine tentative de sauvetage, ce samedi 2 juin, une baleine, un jeune mâle, est morte après avoir ingurgité plus de 80 sacs en plastique au large du sud de la Thaïlande.
Un fait divers tristement récurrent dans ce pays, l’un des plus gros consommateurs de sacs en plastique au monde, responsables chaque année de la mort par centaine des créatures marines vivant près de ses plages de rêve, destination majeure du tourisme de masse. Mais ce drame est aussi, hélas, symptomatique de l’état de pollution dramatique aux plastiques et micro-plastiques des océans, mers et cours d’eau, autour du globe : selon un rapport de l’ONU, qui a déclaré la guerre au plastique des océans en lançant la campagne #OcéanPropre, si on ne fait rien, "il y aura plus de débris plastiques que de poissons dans les océans d’ici à 2050"…
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Dont celui de Matthieu Orphelin, député LREM du Maine-et-Loire et proche du ministre de la Transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot, qui prévoyait des dérogations possibles jusqu'en 2023, et qui a été repoussé par 63 voix contre 20. Faut-il le rappeler : classée cancérogène probable en 2015, par l’Organisation mondiale de la santé, cette substance est le principe actif du Roundup de Monsanto, dont le feuilleton de l'interdiction au niveau européen n'en finit pas de s'étirer et de rebondir.
Mais au-delà du seul recul sur l'interdiction du glyphosate, ce qui est en jeu, c'est toute la question du changement à grande échelle d'un modèle de production aujourd'hui massivement intensif et conventionnel, sans lequel l'agriculture ne pourra pas opérer sa transition écologique, nécessaire pour lutter contre le réchauffement climatique et pour préserver la santé. Décryptage.