Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Media - Page 14

  • Planète vidéo. "Cap sur le bassin d'Arcachon", avec France 3 Aquitaine

    cabanes tchanquées.jpg

    Les cabanes Tchanquées du bassin d'Arcachon. Photo archives Sud Ouest / Franck Perrogon

    Des cabanes Tchanquées au fond du bassin d'Arcachon en passant par la dune du Pyla et une étonnante plongée sous-marine, "Cap Sud Ouest", l'émission de France 3 Aquitaine, nous fait passer de l'autre côté de la carte postale...

     

    Le bassin d'Arcachon, quelle histoire !

    émission,télévision,bassin d'arcachonL’émission commence par les emblématiques cabanes Tchanquées pour revenir sur l’histoire de ces anciennes cabanes d’ostréiculteurs, devenues le symbole de la  beauté et de la fragilité de ce territoire.
    Puis, direction la dune du Pilat (photo Sud Ouest ci-contre) qui s’avère être également une véritable "archive naturelle" et un site archéologique unique. L’archéologue Philippe Jacques revient sur la trouvaille de multiples fragments de poterie sous le sable. L’occasion d’apprendre l’existence de vies humaines à cet endroit, à l’âge du fer, 500 ans avant Jésus-Christ. L’émission se poursuit à Andernos-les-Bains. En compagnie du naturaliste Claude Feigné, du parc ornithologique du Teich, on parcourt les esteys laissés par la marée basse, en patins à vase, les «mastouns», pour comprendre comment ce bassin est source de vie pour la faune et la flore. Au Cap-Ferret, c’est ensuite une expédition sous-marine hors du commun avec Franck  Mazeaud, plongeur professionnel, et Fabien Douarin, spécialiste de la biologie sous-marine, à la rencontre d’un poisson très rare : l’hippocampe...

    Un reportage exceptionnel de France 3 Aquitaine, diffusé  le 15 juin 2013, à voir ou à revoir sur internet.

    Cathy Lafon

  • Villes durables. Bordeaux 8ème au palmarès "Terra Eco" 2014

    quais bordeaux.jpg

    Les quais de la Garonne à Bordeaux contribuent à rendre attractive la ville aux yeux des Français. Photo archives "Sud Ouest" / Laurent Theillet

    Quelles sont les grandes villes de France les plus vertes, innovantes et solidaires ?  Avant les municipales, le numéro de mars de la revue "Terra Eco", en ligne sur internet, s'est penché sur la question.
     
    La réalité et l'image
     
    Première bonne idée de "Terra Eco" : faire une enquête très complète sur les 20 critères du développement durable afin de produire un classement inédit et objectif des 30 plus grandes villes de France. Deuxième bonne idée : commander en même temps à OpinionWay un double sondage sur ce qui fait une "ville idéale" et durable, et sur les villes, qui selon les Français, s'en rapprochent le plus. Etrangement, il y loin de la réalité à l'image : le tiercé de tête des villes durables issu de l'enquête de terrain de "Terra Eco", Rennes, Grenoble et Besançon, ne correspond pas du tout à celui de l'idée que se font les Français des "villes idéales" : Bordeaux, Nantes et Montpellier. Explications.
     
    Une "ville idéale", c'est...
     
    Pour commencer, qu'est-ce qu'une "ville idéale" ? Bonne question. Un air pur à respirer, des jardins et des espaces verts à la pelle pour se promener, mais aussi un faible taux de chômage avec de l'emploi local, sans embouteillages, et une vie associative dynamique... Solidaire et égalitaire, accessible à tous (familles, handicapés, personnes âgées) la ville durable privilégie aussi les mobilités douces (vélo, tram, covoiturage…) et le lien social, via la culture ou l’habitat participatif. Bref, une ville écolo et durable qui offre une bonne qualité de vie pour tous ses habitants et ne se préoccupe pas que des fleurs et des petits oiseaux. C'est ce qui ressort du sondage effectué par Opinionway pour Terra Eco, réalisé sur 1.022 personnes, entre le 5 et le 6 février 2014.
     
    Rennes.jpgLe tiercé des "villes durables"
     
    Sur ce, "Terra Eco" a mené son enquête et a passé au crible les 30 plus grandes villes françaises en établissant leurs performances dans 20 critères, de la quantité de nitrates par litre d’eau au nombre de toilettes publiques, de la production d’énergies renouvelables aux émissions de CO2, en passant par la diversité et la parité, les équipements culturels, l'accessibilité pour les handicapés, les déchets, le chômage, les logements sociaux…  Un énorme boulot, plus compliqué qu'il n'y paraît : en dépit du développement des Plans climat et des Agendas 21, ces données ne sont pas toujours accessibles ou exploitables. Rennes (photo ci-dessus), Grenoble et Besançon, les trois villes qui caracolent en tête du palmarès se distinguent sur tous ces critères qui correspondent aussi à ceux des Agendas 21, chargés d'aider les agglomérations à passer à un mode de développement durable. Dans la région, Bordeaux arrive en 8ème position. Aix-en-Provence est 4ème, Paris, 13ème, Lille, 28ème, Toulouse, 20ème, Marseille, 29ème... Le Havre, lanterne rouge du classement occupe la dernière place.
     
    L'autre tiercé gagnant : celui des "villes idéales"

    Nantes.jpgVoilà pour les réalités de terrain. Terra eco et OpinionWay ont aussi sondé les Français sur les villes de l’Hexagone qui se rapprochent le plus de la "ville idéale".  Selon OpinionWay, pour les Français, la propreté est le premier critère qui définit la ville idéale (45%) suivi d'un taux de chômage bas (40%), de transports en commun et d'espaces verts (36%) et d'absence d'embouteillages (17%)Surprise:  les trois villes gagnantes citées par les Français sont radicalement différentes de celles du palmarès des villes durables. Bordeaux arrive en tête, suivie de Nantes et de Montpellier (citées respectivement par 17 %, 14 % et 12 % des personnes interrogées). Certes, outre leur attractivité naturelle, avec la proximité de l’Atlantique et la Méditerranée, ces villes profitent des retombées des succès de leurs politiques publiques en matière de transports, d'urbanisme ou de culture (tramway et aménagement des quais à Bordeaux, culture à Nantes…). Mais aussi, analyse "Terra Eco", "de leur communication efficace sur leur image". En effet, Nantes (photo ci-dessus), deuxième "ville idéale", n'est que 7ème au classement des villes durables de "Terra Eco". Montpellier (19ème au classement des villes durables) compte 25% de pauvres et Bordeaux,  (8ème) est la cinquième ville la plus embouteillée de France. Le coût du logement y a explosé, la propreté est pointée par ses habitants comme un problème majeur, avec le stationnement. 

    De quoi faire dire à "Terra Eco" qu'en matière d'écologie, de développement durable et de qualité de vie, les candidat-e-s aux municipales et aux scrutins qui viennent ont encore un petit effort à faire pour concilier rêve et réalité…

    Cathy Lafon

    PLUS D'INFO

    • Le palmarès des villes durables de  "Terra Eco" : cliquer ICI
    • L'enquête de "Terra Eco" a été menée auprès des 30 agglomérations les plus peuplées de France, entre le 1er janvier et le 12 février 2014. Toutes les données ont été pondérées en fonction du nombre d’habitants de l’agglomération ou de la ville centre, selon les critères. « Null » signifie 0. Quand il n’y a pas de données, cela est indiqué en toutes lettres. Pour visualiser l’intégralité des résultats : cliquer ICI
    • Le sondage OpinionWay-"Terra Eco" sur la ville idéale : cliquer ICI
  • Le monde après Fukushima : "Une catastrophe illimitée dans le temps". A voir ou à revoir sur Arte

     

    fukushima,#fukushima,catastrophe  nucléaire,anniversaire,documentaire,audiovisuel,télévision

     "Le monde après Fukushima".  Manifestation de Japonais contre le nucléaire. Photo Kenichi Wabanabe

    À quoi ressemble la vie des gens trois ans après une catastrophe nucléaire ? Entre résistance et désespoir, le documentariste japonais Kenichi Wabanabe raconte dans un documentaire exceptionnel et poignant le triste quotidien des habitants de la région de Fukushima : la non-vie, la vie le coeur arraché, la vie au jour le jour. Réalisé en 2012, "Le monde après Fukushima" est toujours d'actualité. Hélas. Arte le diffuse le 18 mars, puis le 7 avril. On peut aussi le visionner en ligne sur le site intenet de la chaine franco-allemande : cliquer ICI

    fukushima,#fukushima,catastrophe  nucléaire,anniversaire,documentaire,audiovisuel,télévisionEt le monde entier découvre l'existence de Fukushima

    Japon, vendredi 11 mars 2011, 5 h 46 mn 23 s UTC, soit 14 h 46 mn 23 s heure locale. Un séisme de magnitude 9  provoque un tsunami monstrueux : une vague de 15 à 30 mètres de haut submerge la région de Fukushima, au nord-est de Tokyo. Parcourant jusqu'à 10 km à l'intérieur des terres, elle ravage près de 600 km de côtes et détruit partiellement ou totalement de nombreuses villes et zones portuaires : 18.000 personnes meurent ou disparaissent. Le 12 mars, le monde entier découvre que le tsunami a provoqué l'accident nucléaire de la centrale de Fukushima-Daïchi, classé comme la catastrophe de Tchernobyl en 1986, au niveau 7, le plus élevé de l'échelle internationale des "événements" nucléaires.

    Victimes mais "debout"

    Watanabe a voulu donner la parole aux victimes de l'accident. Bouleversant. Le réalisateur est allé partout. A 50 km de la centrale, où l'on voit des mères accompagnées leurs enfants irradiés chez le médecin pour leur contrôle obligatoire, jusqu'à 250 km de là, à Tokyo, la mégalopole de 30 millions d'habitants que les autorités ont envisagé d'évacuer, en mars 2011. En passant par une zone de pêche à 160 km au nord de la centrale, où l'on pêche toujours des poissons fortement contaminés, sans oublier Hiroshima, à 850 km de Fukushima. Tous victimes, tous profondément malheureux. Mais tous "debout".

    Vivre, est-ce juste "exister" ?

    Fukushima, c'est "l'île de la Fortune", en japonais... Aujourd'hui, la Fortune est partie. Reste le malheur des mères, institutrices, agricultrices et agriculteurs, pêcheurs... Les larmes sont étouffées, les mots dignes, courageux, émouvants mais précis pour évoquer la douleur qui accompagne depuis trois ans, au nord-est du Japon, chaque petite chose de la vie quotidienne.  Avec les priorités et les obsessions qui sont désormais les leurs : se protéger, protéger les enfants, se nourrir, comprendre... Chacun pose à sa manière la question fondamentale : vivre après la catastrophe nucléaire, est-ce vivre ?

    fukushima nettoyer l'inettoyable.jpgNettoyer "l'innettoyable"

    Est-ce vivre que de devoir rejeter à la mer, dès que pêchés, tous les poissons, trop contaminés pour être vendus et consommés, moyennant une indemnisation de Tepco, la compagnie électrique de la centrale de Fukushima ? Quel avenir pour la  pêche dans cette région du Japon ? Est-ce vivre que de devoir se balader partout avec son dosimètre, afin d'évaluer le taux de radioactivité de l'endroit où l'on se trouve ? Enfants, adultes, chacun le sien chez les Ota. La famille d'agriculteurs revenue dans la zone doit déjouer les pièges de la "peau de léopard", ces taches de radioactivité qui contaminent la nature pourtant si belle. En fonction des vents, de la  pluie, l'ennemi omniprésent mais invisible et inodore, s'est répandu inégalement sur le sol, la végétation, les maisons. Alors, à Fukushima, on s'efforce aussi d'enlever la radioactivité des terres, des arbres, des maisons, des rues, des trottoirs... Mais que faire des déchets, eux-aussi contaminés ? Est-ce vivre que d'être condamné, chaque jour, à nettoyer avec les moyens du bord l'"innettoyable" ? Comme ces prisonniers, condamnés à arracher chaque jour l'herbe invisible de la cour pavée d'un camp de travail.

    fukushima l'argent ne remplace pas.jpg "L'argent ne remplace pas ce qu'on a perdu dans le coeur"

     Est-ce vivre, quand on est agricultrice comme Mikiko Sato, que de revenir dans une propriété abandonnée, dont la terre en apparence inchangée est désormais incultivable ? Madame Sato, âgée d'une soixantaine d'années, pleure : "Le nucléaire, c'est un désastre inventé par l'homme. La sécurité absolue, c'est un mythe". Elle essuie des larmes, discrètes mais brûlantes : "On peut remplacer les choses matérielles avec de l'argent, mais pas ce qu'il y a dans le coeur et qu'on a perdu...[...] On a beau savoir que c'est dangereux, on a tellement de chagrin qu'on n'arrive pas à s'arracher du pays". Et encore : "Tepco est coupable, mais c'est surtout le gouvernement qui est coupable. Avec la course au profit qu'il a mené avec le nucléaire, il a vendu nos vies. Nous souffrons. Et pour longtemps."

    fukushima dosimètre.png"Ne pas avoir d'enfants"

     Est-ce vivre, pour une mère, que de devoir demander à ses filles, âgées de 17 et 24 ans, "de ne pas avoir d'enfants, et peut-être de ne pas se marier. Parce que certainement leur santé sera affectée plus tard..." ? Les dosimètres aux carrefours ou accrochés au cou des enfants renvoient sans cesse les habitants au "monstre invisible", comme ils disent, et aux particules tueuses qu'ils tentent de retenir en disposant de dérisoires bouteilles d’eau aux fenêtres, autour des parcs de jeux et des piscines... Est-ce vivre que de se demander tous les jours, quand on est institutrice :  "Il fait plus de 35 °C, peut-on laisser les enfants jouer dehors et se rafraîchir dans la pataugeoire ?". "On fait des contrôles réguliers, on apprend à vivre en décryptant les informations des médecins et les analyses médicales", confie une jeune mère de famille, en chuchotant, au bord des larmes : "Jusqu'à quand ? On est épuisé, tellement fatigué..."

     "Toutes les victimes de cet accident ne sont même pas encore nées"

    Watanabe ponctue les témoignages de paroles de spécialistes et d'experts, afin, dit-il, "d'analyser la réalité scientifique et médicale sur la contamination". Le sociologue Ulrich Beck, auteur de "La société" du risque" (1986), livre en contrepoint son éclairage. Trois ans après, les débris des dégâts du tsunami ont été plus ou moins déblayés. La contamination due à la radioactivité échappée de la centrale, elle, est encore là, pour des centaines d'années... Alors, pour Ulrich Beck, il faut  parler de"catastrophe nucléaire", à propos de Fukushima, car "c'est le genre d'événements [...] qui ont une "fin ouverte", ce sont des catastrophes illimitées dans le temps. [...] Nous avons du mal à appréhender le nombre de morts et de victimes que cela entraîne. [...] Plus de 25 ans après Tchernobyl, toutes les victimes de cet accident ne sont même pas encore nées.", analyse-t-il. La particularité d'une catastrophe nucléaire, c'est qu'elle est en cours. On ne vit pas dans l'après, mais avec et pour des centaines d'années.

    fukushima manif antinucleaire tokyo.jpg "Après tout, ce n'est que de l'électricité !"

    A 250 km de Fukushima, à Tokyo, Watanabe filme les Japonais qui manifestent  régulièrement en nombre contre le nucléaire depuis la catastrophe, et dénoncent le gouvernement qui, selon eux, "a abandonné les gens qui vivent dans les zones irradiées". Paroles de citoyens nippons qui ne croient plus dans le nucléaire et critiquent la "nucléocratie" : de vieilles dames anonymes, comme cette grand-mère qui se dit "prête à mourir" pour que le monde sorte définitivement du nucléaire, des parents avec leurs enfants, des écrivains, comme Kenzaburo Oê, prix Nobel de littérature. Ou encore ce musicien, qui s'écrie: "Garder le silence après Fukushima est une autre forme de barbarie !". Et qui s'étonne de l'absurdité qui consiste à accepter que l'on puisse sacrifier de la sorte des vies humaines :" Après tout, ce n'est que de l'électricité ! Il y a d'autres moyens de produire de l'énergie. L'atome est une aberration." 

    fukushima premier ministre.jpg"L'unique sécurité est de ne pas avoir de centrale nucléaire du tout"

    D'autres paroles encore. D'autres visages filmés par Watanabe, ceux de "décideurs", comme celui de Yoshihiko Noda, premier ministre japonais en exercice à l'époque de la catastrophe, dont les propos radicaux clôturent le film. "A propos du nucléaire, j'ai changé d'avis à 180°. Je suis un grand-père, j'ai des petits-enfants. [...]. La sécurité absolue n'existe pas. L'unique sécurité, c'est de ne pas avoir de centrale nucléaire." avoue-t-il, en brandissant la photo de son petit-fils.

    "La demi-vie"

    Alors, oui, depuis Fukushima, une partie des Japonais vit toujours, mais elle est enfermée dans l'absurdité d'une situation incontrôlable qu'elle subit sans l'avoir choisie.  Dans son livre "Fukushima, récit d'un désastre", Michaël Ferrier, l'écrivain français qui vit à Tokyo, nomme cette vie "la demi-vie" : " On peut très bien vivre dans des zones contaminées : c'est ce que nous assurent les partisans du nucléaire. Pas tout-à-fait comme avant, certes. Mais quand même. La demi-vie. Une certaine fraction des élites dirigeantes est en train d'imposer  une entreprise de domestication comme on en a rarement vu depuis l'avènement de l'humanité".

    Cathy Lafon

    FUKUSHIMA EN CHIFFRES

    • : c'est le niveau de gravité auquel est classé l'accident nucléaire de Fukushima, comme celui de Tchernobyl (Ukraine, 1986).  C'est le plus élevé sur l'échelle Ines (International Nuclear Event Scale).
    • 6.500 petabecquerels (PBq) : ce sont les rejets de gaz rares que la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi a relachés dans l'atmosphère, soit autant qu'à Tchernobyl.
    • 408 PBq : les émissions d'iodes radioactifs.58 PBQ : les émissions de césiums radioactifs.
    • 1.500 km2 : les sols fortement contaminés au Japon par la catastrophe, c'est à dire contenanant un dépôt de césiupm 137 supérieur à 300.000 Bq/m2.
    • 80% : la part des déchets radioactifs tombés dans l'océan. Il s'agit à la fois des eaux qui ont servi à refroidir les réacteurs et des retombées indirectes de poussières. 
    • 160.000 : le nombre de personnes évacuées qui n'ont pu réintégrer leur domicile. 220.000 habitants ont été déplacés au moment de l'accident.

    "Fukushima trois ans après" sur ARTE : 

    • "Le monde après Fukushima"documentaire de Kenichi Watanabe (Japon, 2012, 77 mn). ARTE, Rediffusions : mardi 18 mars à 9h55 et mercredi 2 avril à 1h15.

    LIRE AUSSI