En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Reconnaissez-vous cet oiseau aperçu le 27 octobre 2010 à Braud-et-Saint-Louis (Gironde) ? Photo Alain Noël
Chaque lundi, Ma Planète vous invite à découvrir un oiseau de la région, avec une petite énigme proposée par Alain Noël, ornithologue amateur et photographe animalier girondin.
Voici une scène aperçue il y a quelques années : un groupe de moineaux picore tranquillement des miettes de pain. En une fraction de seconde, un cri, l'éclatement du groupe, accompagné du passage instantané d'un gros oiseau sombre, quelques plumes voletant... Notre oiseau mystère de la semaine, un rapace, est passé par là. Il s'est enfui entre les branches et le silence (mortel) est revenu. Les moineaux quant à eux repointeront le bout de leur bec de longues minutes après, un membre du groupe en moins.
Quel est donc cet oiseau au mode de chasse presque unique chez nos rapaces aquitains ? Langue au chat ?
Le capitaine Nick Sloane Nick Sloane présente son projet de remorquage d'icebergs vers l'Afrique du Sud, victime d'une sécheresse historique. Photo AFP
Tout l'été, Ma Planète vous fait découvrir les bonnes initiatives d'ici et d'ailleurs, ces petits (ou gros) coups de pouce qui améliorent le quotidien et embellissent la planète. Aujourd'hui, une idée un peu folle née en Afrique du Sud, pour approvisionner la capitale en eau.
Chasser des icebergs pour en extraire de l'eau ? L’idée paraît délirante », concède le capitaine Nick Sloane, « mais si on y regarde de près, ce n’est pas si fou »: pour approvisionner en eau la métropole du Cap, victime d’une sécheresse historique, pourquoi ne pas « cueillir » des icebergs en Antarctique?
Tout l'été, Ma Planète vous fait découvrir les bonnes initiatives d'ici et d'ailleurs, ces petits (ou gros) coups de pouce qui améliorent le quotidien et embellissent la planète. Aujurd'hui, Lina, une voiture à composter imaginée aux Pays-Bas.
Cette équipe d'étudiants de troisième année de l'Université de technologie d'Eindhoven, aux Pays-Bas, ne manque pas d'imagination. Créer une voiture compostable, il fallait quand même y penser ! Et surtout, y parvenir.
Objectif atteint pour ces ingénieurs en herbe qui ont conçu une voiture électrique alimentée par trois batteries au lithium modulaire pour une autonomie de 100 kilomètres à 80 km/h, fabriquée à partir de matériaux naturels biodégradables (lin et sucre de betterave) et tous recyclables. Sa carrosserie est en bioplastique à base de lin et d'acide polyactique (PLA), ce qui réduit en outre considérablement son poids : 301 kg contre 1,5 t, en moyenne pour un véhicule électrique classique. Avec son faible poids, ce véhicule green tech est quatre fois plus puissante qu'une BMW i3, l'une des voitures électriques de la marque.
Pour conduire un jour Lina, c'est le nom de cette petite merveille verte destinée à tous les citadins éco-responsables (et aux autres), il faudra encore patienter. La voiture compostable en est pour l'instant au stade de prototype. Ses inventeurs travaillent sur une deuxième version plus solide de "la première voiture la plus propre au monde" jamais conçue : sa fabrication émet également très peu de CO2.