Mais où sont donc passés les glaciers arctiques ? Réponse mardi soir sur Arte, avec "Chasing Ice"

"Chasing Ice", photo DR
Documentaire de Jeff Orlowski, "Chasing Ice ("Chasseur de Glaces"), réalisé en 2012, décrit le travail de James Balog (photo ci-contre). Cet éminent photographe du "National Geographic", alors climatosceptique, a été chargé en 2005 par le magazine d'immortaliser la fonte et la chute des glaciers, conséquences du changement climatique. Une mission qui l'a convaincu de la réalité du phénomène, qu'il a filmé ensuite pendant plus de trois ans, au cours de son projet "Extreme Ice Survey", destiné à faire prendre conscience au grand public de son ampleur. A l’aide de vingt-quatre caméras, équipées pour ces conditions extrêmes et installées au Groenland, en Alaska ou dans les Rocheuses, et malgré les péripéties qui jalonnent son entreprise, James Balog a enregistré jour après jour l’impact du réchauffement climatique : la chute vertigineuse des icebergs et le retrait des glaciers de l'Arctique.
Diffusé pour la première fois à la télévision ce soir à 20h55 sur Arte, "Chaising Ice" fournit les preuves par l'image, aussi irréfutables que spectaculaires, de l’impact du réchauffement climatique sur la fonte des glaciers.

Eviter des produits contaminés par les pesticides pour manger plus sainement, oui, mais comment être sûr que l'on fait le bon choix sur le marché, au rayon fruits et légumes de son supermarché ou encore de la petite épicerie du coin ? Certes, on peut commencer par décider de ne plus se fournir qu'en en bio. Mais cela n'est pas toujours possible. Les pesticides présents dans le produit pourraient aussi être identifiés et quantifiés et indiqués sur une étiquette. Une transparence minimale revendiquée par le consommateur, mais pas vraiment encore dans les tuyaux. L'Etat pourrait encore décider d'interdire l'usage des phytosanitaires dans les champs et les élevages français. Inutile de le préciser : là, on est en plein rêve et ce n'est pas demain la veille.
Tant qu'il y aura des phytosanitaires, pouvoir identifier et quantifier les pesticides sur les fruits et légumes frais afin de savoir ce qu'il achète exactement et ce qu'il est susceptible de manger, constitue donc un enjeu sanitaire important pour le consommateur. C'est ce que proposera à terme Scan Eat, un outil inventé par 