Sentinelles de Ma Planète. Le beau papillon inconnu de Thierry

Un papillon dans un sous-bois. PhotoThierry Marguerie
Thierry Marguerie a 48 ans. Fidèle lecteur de "Sud Ouest" sur internet et fan de son écolo-blog "Ma Planète", il nous a adressé deux magnifiques photos de papillons, prises fin juin 2014 dans un tout petit sous-bois, à Carpentras (84) où il habite, dans le Sud-Est.
Sa contribution personnelle à "la préservation de notre belle planète", selon ses mots.
Amoureux de la nature et des animaux, Thierry est en reconversion professionnelle et apprend le métier de photographe. Ancien conducteur d'engin, il a conscience qu'il a encore un long chemin à faire mais il espère percer dans ce domaine et pouvoir concilier son amour de la nature avec sa passion pour la photo.
Vu le talent que révèlent ces deux images, on ne doute pas qu'il y parvienne et "Ma Planète" le lui souhaite vivement ! En tout cas, il a déjà mérité de faire partie de ses vaillantes Sentinelles de l'environnement...
Qui connaît le papillon de Thierry ?
Mais au fait : de quel papillon s'agit-il ? C'est bien sûr un Lépidoptère (Lepidoptera). Cet insecte dont la forme adulte est communément appelée papillon et dont la larve est une chenille, est l'un des insectes les plus répandus et connus au monde. Il comprend entre 155.181 et 174.250 espèces, dont près de 7.000 en Europe et 5.000 en France, réparties dans 126 familles et 46 super-familles. Ca fait beaucoup de papillons, tout ça... Voilà pourquoi, afin de mieux les connaître, l’Observatoire de la Biodiversité des Forêts a lancé en France en mai dernier une mission d’inventaire les concernant, dans le cadre de l'inventaire de la biodiversité en forêt.
Thierry ignore le nom de celui qu'il a photographié et "Ma Planète" aussi. Qui nous le dira ? Merci de nous envoyer vos réponses par courriel ou de les déposer dans les commentaires au bas de l'article.
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Une planche de surf, c'est super polluant
D'où l'idée de créer un atelier visant à « s’approcher le plus possible de la planche idéale », en diminuant les matériaux polluants, concrétisée par Dominique Villenave avec deux ingénieurs de 35 ans eux-mêmes surfeurs, Pierre Pommiers et Benoît Rameix. La fibre de verre a été remplacée par de la fibre de lin. Dotée d’une flexibilité naturelle que n’a pas la fibre de verre, plus absorbante aux vibrations, la logique voulait qu’elle améliore la « tenue de vague ». Pari tenu semble-t-il, si l’on en croit des pratiquants. « Je surfe sur Notox depuis presque un an après y avoir mis ma fille, car je voulais une marque de confiance avec un vrai suivi », déclare
de construire un atelier sophistiqué où les déchets sont isolés, recyclés et revalorisés, à chaque stade de la production: shape (design), modelage, glaçage et ponçage. Les pièces dédiées à la stratification et au ponçage ont été dotées d’un système de traitement d’air et d’aspiration à l’outil (ponceuse, robot…), explique-t-on chez Notox. Au final, la quantité de déchets ultimes, non recyclables, « principalement des résines », a été réduite de plus des deux tiers. Stratégiquement, l’atelier-labo a diversifié ses services: planches à la demande, mise à disposition locative pour « shapeurs » (designers, ndlr) extérieurs, sous-traitance de petites et moyennes séries de planches.