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autopartage - Page 3

  • Semaine de la mobilité : le réseau France Autopartage devient Citiz

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    Citiz, le nouveau logo du réseau français d'autopartage. Photo DR

    La réseau France AutoPartage, né il y a 10 ans, premier réseau national de voitures  partagées, adopte une nouvelle marque nationale: Citiz. Avec 15.000 utilisateurs dans plus de cinquante villes, dont Bordeaux avec AutoCool, France AutoPartage fait du réseau et crée Citiz pour améliorer sa visibilité nationale et renforcer sa stratégie de développement.

    Un nouveau logo, de nouvelles couleurs et une appli smartphone nationale

    A l’occasion de la semaine de la mobilité, quatre coopératives d’autopartage sur les quinze que compte le réseau, présentes dans les régions d’Alsace, PACA, Midi Pyrénées et Ile-de-France, ont lancé en avant première la nouvelle marque et ont adopté les nouvelles couleurs et les nouveaux outils informatiques conçus pour l’occasion, dont une appli smartphone nationale. L'objectif : faciliter l'accès à l’autopartage à leurs abonnés dans toutes les villes du réseau Citiz dont les membres restent des coopératives indépendantes, au capital détenu par leurs sociétaires. Pour les abonnés, c'est transparent : leur contrat et les modalités d'accès au service restent inchangés. Marseille, Toulouse doivent migrer ces jours-ci.  A Strasbourg, la coopérative alsacienne Auto’trement (3.300 abonnés à l’année, 135 véhicules et 68 stations dans dix villes d’Alsace) vient de franchir le pas, le mardi 17 septembre.


    En Alsace, Auto'trement devient CITIZ par France3Alsace

    guenro2.jpgCitiz arrive à Bordeaux en novembre

    A Bordeaux, c'est fin novembre, lors du prochain salon du GART, que la société coopérative d'autopartage AutoCool fera le grand saut pour devenir Citiz. Elle en profitera pour lancer des voitures hybrides  sur l'agglo bordelaise. Une façon pour AutoCool de se préparer à accueillir la concurrence, les nouvelles voitures électriques de Bolloré en libre service ? Peut-être, mais pas seulement. Les BlueCub d'Autolib sont attendues cet automne à Bordeaux. Leur emprise dans l'espace public va se traduire dans un premier temps par l'arrivée de 90 voitures supplémentaires, réparties sur 49 emplacements équipées de bornes électriques. Leur objectif est toutefois différent de celui des véhicules proposés par AutoCool, comme le rappelle le patron de la société coopérative bordelaise, Nicolas Guenro : "l'autopartage vise à réduire la part de la voiture en ville, pour  parvenir à 9 voitures en moins sur la chaussée par véhicule autopartagé, à 41% de baisse de km effectués en voiture et à un report modal sur les transports en commun et les modes de déplacement doux (vélo, marche à pied...)". AutoCool est en outre un système qui fonctionne en boucle : le véhicule est rendu dans la station de départ, à la différence d'Autolib, qui fonctionne en trace directe : les BlueCub pourront être rendues dans une autre station que la station de départ (comme un VCub).

    Préserver la planète en réduisant la place et les nuisances de la voiture en ville

    En attendant d'accomplir sa mutation en Citiz, AutoCool se consacre entièrement à décliner localement la semaine europénne de la mobilité, en lançant l'opération intitulée: "L'auto-partagée remplace l'auto-possédée".Jusqu'au 31 décembre 2013, AutoCool offrira une inscription et un abonnement gratuit à son système d'autopartage, à toute personne qui présentera un certificat de cession de son véhicule. 

    Cathy Lafon

    REPERES

    • AutoCool en chiffres:  27 stations AutoCool sur la CUB, 51 véhicules, 1.400 conducteurs.

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    LIRE AUSSI

  • Mon été 2013 en mode écolo. Partir en voiture et rester "vert" : c'est possible!

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    Ce week-end, c'est le grand chassé-croisé des "juilletistes" et des "aoûtiens". Si vous ne partez pas en vacances en vélo, quelques conseils utiles pour survivre à ce moment difficile. Photo archives Sud Ouest /David Le Deodic

    Ca y est, pour les "aoûtiens", c'est enfin les vacances ! Quant aux "juilletistes", c'est bel et bien fini... Comment passer des vacances plus vertes que vertes, sans sombrer pour autant dans la déprime de l'auto-culpabilisation... ? Et déjà :  comment peut-on partir en vacances en voiture, quand on est écolo ?


    F. Hardy & j. dutronc - Puisque vous Partez en..

    On destresse

    On est bien d'accord, l'écologie, c'est toute l'année et c'est un combat de tous les instants. Pas question de baisser la garde même pendant les vacances. Mais là, on destresse ! Zen ! Oublions, l'espace de quelques jours, le changement climatique, la disparition des papillons et des abeilles, les ravages des pesticides dans nos assiettes, la fonte des glaciers, Fukushima... Pas de souci : on retrouvera tout ça à la rentrée, exactement dans l'état où on l'a laissé en partant... Sauf si c'est pire... Stop. On a dit:  VACANCES. On aborde la question du développement durable en mode relax et on laisse tomber la prise de tête. Mais on garde la "verte attitude", même, et surtout, si l'on part en voiture.

    diesel.jpgOui, mais la voiture, ça pollue...

    Question préalable : avantg de partir, avez-vous pensé à vérifier votre bilan carbone ? Vous savez, l'impact de votre activité quotidienne sur la planète, en terme d'émission de CO2 ?  Il peut vous réserver une excellente surprise. Si vous avez suivi à la lettre tous les conseils de Ma Planète cette année, vous avez sûrement été très économes en déplacements émetteur de gaz à effet de serre. Et  il se peut même que vous ayez droit à un voyage en avion, à l'étranger, bien loin, au soleil. Plutôt pratique si vous avez décidé de partir aux Etats-Unis, en Inde, en Afrique ou en Asie. Vite, vite, la calculette de l'Ademe...

    autocool2.jpgAutopartager, covoiturer, ou partager tout court

    C'est d'accord, ceux qui aiment la planète prendront le train, mode de transport le moins émetteur en CO2 après le bateau, le cheval et le vélo. Certes. Mais quand on est nombreux, qu'on trimballe la tente de camping et tout le toutim, on est parfois bien obligé (et bien content) de partir en voiture. Un voyage en famille ou avec des amis en voiture est souvent moins coûteux qu'en train, plus commode et si on est plusieurs à partager le véhicule, question pollution, c'est mieux que si l'on est tout seul. Et si on part en célibataire, le covoiturage est une excellente formule pour partir à la recherche de l'âme soeur : avec Blablacar, on fait à coup sûr autant de rencontres que sur Meetic.  Si, si, je vous l'assure.

    "No diesel" quand même

    Un conseil aux "bad green boys-girls" qui roulent en Diesel : s'ils veulent vraiement trouver le repos de l'esprit auquel ils aspirent, qu'ils essaient d'oublier momentanément que le "diesel tue", comme toutes les études sanitaires nous l'indiquent. A la rentrée, ils auront ainsi le cerveau tout frétillant, prêt à  réfléchir aux moyens de changer leur voiture ultra-polluante. Pas forcément contre un véhicule électrique, qui n'est pas la panacée. Mais pour une voiture plus propre, ou carrément un abonnement à un système d'autopartage.  Rien qu'à Bordeaux, à la fin de l'année 2013, ils devraient y en avoir pas moins de deux : AutoCool, qui existe déjà et la BlueCub, l'Autolib de Bolloré qui arrive sur l'agglo bordelaise.

    vacances,voiture,location,autopartage,vélo en libre serviceJe ne conduis plus, j'éco-conduis !

    Conseil n°2. Diesel, ou pas, si vous n'avez pas encore acheté DrivEco, le petit boîtier vert destiné à développer l'éco-conduite dont Ma Planète vous a pourtant parlé en octobre 2012, vous adoptez d'urgence les conseils du guide d'éco bonne conduite.  Edité par ALD Automotive&Beltoise Evolution téléchargeable en ligne, il vous donne cinq conseils en or pour devenir un "éco-conducteur" en économisant sa consommation de carburant jusqu'à 25 % et autant de rejets polluants épargnés, grâce à des gestes simples qui préservent l'environnement. Leader de la Location Longue Durée en Europe, ALD Automotive est, avec l’école de conduite Beltoise Evolution, précurseur en matière de stages d’éco-conduite. Chaque jour, grâce à leurs enseignements, des centaines de stagiaires reprennent la route en sachant éco-conduire...

    citi bike bleus.jpgUne fois sur place, je roule éco-responsable

    Ouf ! On est enfin arrivé en vacances ! Pas la peine de se casser la tête : on fait en vacances comme on fait à la maision : on ne prend la voiture qu'en cas d'extrême nécessité, jamais pour soi tout seul. On utilise les transports en commun du coin, idéal pour faire des rencontres, et on roule à vélo. Si on n'a pas pu prendre le sien, on peut aussi le louer sur place. La plupart des villes, même de taille moyenne, ont désormais des systèmes de location de vélos en libre service. Même New York a son citi bike bleu ! Et comme on a le temps : on marche ! C'est bon pour le moral, la santé et on bronze ! Jamais bloqué dans sa mobilité, en vacances, on se déplace dans la sérénité.

    Si vous prenez le volant ce week-end : conduisez souplement, mais aussi très, très prudemment, en vous arrêtant régulièment pour vous reposer et en respectant toutes les règles du code de la route...

    Bon, rouler "vert", c'est pas si difficile, finalement. Bonne route !

    Cathy Lafon

  • Bordeaux : l'arrivée d'Autolib' se précise. Où en est AutoCool, le site d'autopartage bordelais?

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    Nicolas Guenro, directeur d'AutoCool, à Bordeaux Photo Sud Ouest

    AutoCool, c'est le système pionnier d'autopartage de l'agglomération bordelaise, intégré au réseau de transport en commun, TBC.  D’ici à la fin de l’année, la Communauté urbaine de Bordeaux verra se déployer l'Autolib' Bluecar, déjà mis en place à Paris et Lyon par le groupe Bolloré. Il s’agit de voitures électriques mises en libre service selon un modèle de fonctionnement similaire à celui du VCub. Comment se prépare AutoCool à cette arrivée concurrentielle? Le point en sept questions avec Nicolas Guenro, son directeur.

    Autocool: comment ça marche en vidéo

    Ma Planète : "Autopartager", oui mais pourquoi ?

    autopartage,véhicule en libre service,autolib,autocool,bordeaux,véhicules électriques- Nicolas Guenro: L'autopartage est un système de location de voitures en milieu urbain, qui permet d’utiliser les véhicules en libre-service et de façon ponctuelle. Il y en a désormais une vingtaine en France. L'idée directrice d'AutoCool, c'est de réduire le volume de la circulation automobile partout où c'est possible en montrant le double coût réel de la voiture individuelle, environnemental et financier. Même si l'offre de l'autopartage se veut sociale, réduire la part de la voiture passe d'abord par un changement des comportements. AutoCool est un système qui fonctionne en boucle

    MP : Les véhicules estampillés du logo "Autocool" font désormais partie du paysage urbain familier des Bordelais, qui en voient de plus en plus. Ca marche bien ?

    - NG : Oui, ça marche bien. Le nombre d'abonnés est en progression et nous avons plein de projets de développement. L'intégration en 2011 d'AutoCool au réseau de transports en commun bordelais, grâce à Keolis et à la Cub, a été la vraie bonne idée plébiscitée par tous les usagers. En 2011, AutoCool a enregistré 50 à 60 % de nouveaux adhérents. Nous avons aujourd'hui, en 2013, 1.400 conducteurs.

    MP : Quelle est votre offre sur le territoire ?

    -NG : Nos abonnés disposent désormais de 27 stations AutoCool sur la CUB et de 51 véhicules.

    MP : Quels sont vos projets de développement ?

    - NG : Ils sont nombreux et concernent les véhicules électriques, mais pas seulement. Côté électrique: nous intègrerons une dizaine de MIA électriques à la flotte en mars 2014, dans un usage mixte : voiture de service pour les professionnels, voiture travail-domicile-travail pour les salariés  et autopartage classique le week end. 

    Nous allons renouveler nos véhicules diesel par des Yaris Hybride : électrique en ville, essence en dehors, ce qui permettra de disposer de voitures polyvalentes et d'éviter l'émission des particules fines produites par le gazoil.

    MP : Pourquoi pas du 100 % électrique ?

    - NG : Nous ne souhaitons pas aller vers une transition tout électrique : les véhicules 100% électriques ne sont pas adaptés à la polyvalence d'usage recherchée par les autopartageurs, qui veulent utiliser des voitures pour 1h,  un week-end, mais aussi pour partir quinze jours en vacances. 

    autopartage,véhicule en libre service,autolib,autocool,bordeaux,véhicules électriquesMP : Comment vous préparez-vous à l'arrivée d'Autolib?

    -NG: C'est la deuxième raison pour laquelle nous ne voulons pas passer au tout électrique. Avec l'arrivée de Bolloré dans l'agglomération bordelaise en 100% électrique, nous préférons conserver notre spécificité basée sur un impact fort sur les politiques publiques en matière de transport.

    "Changer les comportements"

    L'objectif premier de l'autopartage et d'AutoCool, c'est de parvenir à 9 voitures en moins sur la chaussée par véhicule autopartagé, à 41% de baisse de km effectués en voiture et à un report modal sur les transports en commun et les modes de déplacement doux (vélo, marche à pied...). Réduire la part de la voiture passe d'abord par un changement des comportements. AutoCool est un système qui fonctionne en boucle : le véhicule est rendu dans la station de départ, à la différence d'Autolib (photo AFP ci-dessus, site de Vaucresson, près de Paris), qui fonctionne en trace directe, le véhicule peut être rendu dans une autre station que la station de départ (comme un VCub).

    MP : Mais votre objectif n'est-il pas le même que celui d'Autolib?

    - NG : Pour nous, non. Les trois impacts forts que je viens d'évoquer ne sont pas mesurés chez Autolib, qui semble être surtout une alternative au métro à Paris et en Ile-de-France. Et donc au tramway à Bordeaux. Mais qui ne vise pas une diminution du nombre de véhicules sur la chaussée ni un report modal sur les transports en commun, puisqu'il en est une alternative concurrentielle. 

     Ma Planète, poil à gratter de l'écologie, s'interroge. Deux systèmes de voitures en autopartage peuvent-ils coexister dans l'agglomération bordelaise ?

    autopartage,véhicule en libre service,autolib,autocool,bordeaux,véhicules électriquesLe premier impact d'Autolib' sera l'arrivée d'une flotte de 90 nouveaux véhicules dans la Cub et sur 40 stations réparties dans sept communes (Bègles, Bordeaux, Cenon, Le Bouscat, Mérignac, Pessac, Talence) pour lesquels il faudra créer 40 mini-parcs de stationnement et installer des bornes de recharge électrique  (180 dans une première étape) : c'est autant d'espace public dédié à la voiture, même s'il est pris à la voiture privé, et même si les Autolib' sont électriques et moins polluantes. D'ici 18 à 24 mois, la Cub compte passer à 200 véhicules. (Illustration : Vincent Bolloré présente un site d'Autolib' à Vaucresson près de Paris. Photo AFP).

    Bolloré prêt à partager l'autopartage à Bordeaux

    Pour Clément Rossignol (EELV), vice-président de la CUB en charge des déplacements alternatifs,  l’équipe de Bolloré est prête à accepter l’ensemble des conditions posées par la Ville et la CUB : "Le système devra porter un autre nom qu’Autolib’ et nous voudrions choisir l’emplacement des stations, afin que le réseau soit compatible avec les transports en commun et Autocool",  qui existe depuis 2008. Les élus souhaitent un abonnement unique, valable pour tous les modes de transport, tramway, bus, navettes fluviales,  VCubAutoCool et les futures Bluecars bordelaise, les BlueCub, qui seront un nouveau maillon de la chaine locale de la mobilité.

    Des moyens disproportionnés : 20 millions d'euros pour Bolloré, 500.000 pour AutoCool

    Argument de poids pour les décideurs locaux, Bolloré prendra à sa charge l’ensemble des frais d’installation du système, soit 20 millions d'euros. Les bornes seront installées suivant une simple autorisation d’occupation temporaire du domaine public. L’investissement serait rentabilisé "dans 4 ou 5 ans", a affirmé l’industriel, qui devrait aussi créer une quarantaine d'emplois pour faire fonctionner le dispositif. La CUB espère ainsi gagner sur tous les tableaux et entend bien préserver AutoCool qui a toutes les raisons de craindre l'arrivée d'un concurrent aussi puissant que Bolloré et son Autolib. La société coopérative bordelaise fait vivre quatre salariés, tourne avec un budget de 500.000 euros et ne touche plus qu'une subvention annuelle de 20.000 euros de la Cub, après avoir été aidé dans sa mise en place par l'agglo et la ville de Bordeaux.

    Autocool + Autolib' : une vraie bonne idée ou une vraie fausse bonne idée ?

    autopartage,véhicule en libre service,autolib,autocool,bordeaux,véhicules électriquesL'agglomération bordelaise sera la première de France à offrir simultanément sur son territoire deux systèmes de voitures en libre-service. On a bien compris qu'AutoCool et Autolib' veulent mettre leurs différences au service d'un objectif commun : permettre aux habitants de la Cub de ne plus utiliser la voiture individuelle. On peut néanmoins se demander si les deux systèmes malgré tout concurrentiels pour les usages ponctuels, pourront coexister alors que l'autopartage en est encore à ses débuts dans les usages. Et ce, dans un territoire urbain contraint où la réduction du nombre de véhicules en circulation ou garés reste l'un des objectifs premiers de la fluidification de la circulation en ville et de l'indispensable amélioration de la qualité de vie et de la qualité de l'air. N'y a t-il pas là, au fond, une contradiction écologique?  A suivre.

    Cathy Lafon

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    - 76 % de personnes qui se déplacent quotidiennement en voiture
    - 11 %
    de personnes qui se déplacent quotidiennement à deux-roues motorisé (moto, scooter...)
    + 13 %
    de personnes qui se déplacent quotidiennement en transports en commun
    + 21 %
    de personnes qui se déplacent quotidiennement à vélo
    + 6 %
    de personnes qui se déplacent quotidiennement à pied

    Selon une étude réalisée en 2012 par 6T-Bureau de recherche, en partenariat avec France Autopartage et avec le soutien de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’Énergie (ADEME), dans le cadre du Programme interministériel de Recherche et d’Innovation dans les Transports Terrestres (PREDIT.).

    • Bolloré en chiffres. Chiffre d'affaires 10 milliards d'euros et 669 millions de bénéfices. La division "Bluecar" est loin d'être rentable : elle présente un chiffre d'affaires de 215 millions d'euros et  350 millions de pertes.