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Viticulture - Page 7

  • Une box de vins bio : le cadeau idéal pour une fête des mères et des pères toujours plus verte !

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    vin bio,biodynamie,cadeau,fête de mères,fête des pèresLa penderie et la boîte à bijoux de votre maman saturent en colifichets de toutes sortes et les bouquets de fleurs, comme les parfums, la font éternuer ? Votre papa en a ras-la-casquette de recevoir des cravates qu'il ne porte jamais ? Bref, comme chaque année, vous voyez arriver les mois de mai et de juin avec appréhension...

    La fine fleur du vin bio chez soi, en 24 heures chrono

    Pour trouver le cadeau idéal pour la fête des mères et des pères, ne vous creusez plus le carafon !  Classée numéro 1 dans la catégorie vin et gastronomie sur TrustPilotPinotBleu.com, la start-up lancée en 2016 par Thomas Lemasle et François-Xavier Henry est là pour vous sauver la vie. 

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  • Santé : le risque de maladie de Parkinson lié aux pesticides toucherait aussi les riverains

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    Une étude épidémiologique nationale pointe une augmentation de la maladie de Parkinson dans la population générale habitant les cantons français les plus agricoles, notamment viticoles. Photo archives "Sud Ouest"

    Le risque de maladie de Parkinson lié aux pesticides ne se limiterait pas aux seuls agriculteurs, mais toucherait aussi la population des régions les plus agricoles, et notamment les plus viticoles, exposées à ces substances, selon une étude publiée mardi. Une augmentation de la maladie de Parkinson dans la population générale habitant les cantons français les plus agricoles, notamment viticoles, a en effet été relevée dans une étude épidémiologique nationale.

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  • Le livre vert du dimanche. Pour que la vigne ne meure jamais : "Le jour où il n'y aura plus de vin", récit d'un combat

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    Pour Lilian Bérillon, pépiniériste, le véritable danger pour la vigne n'est pas le réchauffement climatique mais l'homme et ses techniques de culture. Photo archives Sud Ouest

    "A l'heure où la presse s'extasie devant de nouveaux chais clinquants à plusieurs millions d'euros, imaginés par de célèbres architectes, la vigne se meurt". D'entrée, la préface du livre cosigné Laure Gasparatto, journaliste spécialiste du vin au "Monde" et Lilian Bérillon, pépiniériste, "Le jour où il n'y aura plus de vin", publié chez Grasset, plante le décor. Sans fioritures. Les faits sont là : autrefois, on plantait pour cent ans, demain on plantera pour à peine vingt-cinq ans. Le coupable ? Le réchauffement climatique. D'accord. Mais au fond, ce dernier a bon dos. Le vrai responsable, c'est surtout l'homme et ses techniques de culture.

    Dans cinquante ans, explique Lilian Bérillon, qui vit et travaille à Jonquières (Vaucluse), dans sa pépinière qui porte son nom, si rien ne bouge, "le vin tel que nous le buvons et l'aimons, aura disparu". La raison ? Le productivisme des pépiniéristes de la viticulture, dont le métier est né il y a une centaine d'années de la crise du phylloxéra, qui considèrent le cep comme une marchandise et vendent les plants de vigne hors-sol, des "cépages dit résistants, issus du clonage et des éprouvettes, comme un trader vendrait des actions", dénonce-t-il. Avec pour horizon monotone la fin de la diversité, ramenée à un seul pied de vigne, reproduit à l'infini.

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