Climat : Greta Thunberg reçoit le prix "ambassadrice de conscience" d’Amnesty International

La militante suédoise pour le climat Greta Thunberg, 16 ans, intervenant devant 1.200 décideurs et chercheurs lors d’une conférence sur le climat à Vienne, le 28 mai 2019. Photo archives AFP
C'est l'ado de l'année, voire du siècle. Mine de rien, avec son visage lisse et obstiné, encadré de deux tresses bien sages, la Suédoise Greta Thunberg, à l'initiative de marches organisées dans le monde entier pour alerter sur l’urgence de lutter contre les dérèglements climatiques, est parvenue à soulever des montagnes. La chose n'a pas échappé à l’organisation de défense des droits de l’Homme, Amnesty International, qui a décerné le 7 juin dernier à la jeune égérie du climat son prix le plus prestigieux, celui d' "ambassadrice de conscience", afin de récompenser celle qui est à l'origine du mouvement "Fridays For Future" ("Les vendredi pour l’avenir").


Dans le centre de la France, un agriculteur, Michel Villeneuve, est retrouvé inanimé au pied de son tracteur. On lui diagnostique une leucémie liée à l'utilisation d'un désherbant chimique, produit par la multinationale Saskia. Le député Guillaume Delpierre, ami d'enfance de Villeneuve, s'engage à livrer une bataille parlementaire pour faire interdire le produit. Alors que le PGD de Saskia mandate un redoutable lobbyiste pour contrer le projet parlementaire de Delpierre, avec l'aide d'une ex-journaliste politique au riche carnet d'adresses, le directeur marketing de Saskia est retrouvé mort, noyé dans la Seine. Un suicide mystérieux que veut venger sa fille, une jeune femme...