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Insolite - Page 42

  • L'oiseau devinette du lundi

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    Reconnaissez-vous cet oiseau au long bec fin et pointu, aperçu le 15 mars 2017 au Teich (33) ? Alain Noël

    alain noel.jpgFacile ! Nous voilà devant un limicole déjà présenté sur Ma Planète. Et bien non, raté ! Bravo à ceux qui suivent, mais ce n'est pas un chevalier gambette. Notre oiseau mystère de la semaine a pourtant les mêmes couleurs rouges au bec et aux pattes, et il fait à peu près la même taille. Comme lui, il se promène en quête de nourriture, les pattes dans l'eau, mais il préfère un peu plus de profondeur et se balade en groupe. De plus il a un rythme plus soutenu et n'hésite pas à nager. Avec son bec, plus fin et plus pointu, il est d'une bien plus grande élégance que le très commun gambette.

    Quel est donc cet oiseau porte aussi le nom de "chevalier" ? Langue au chat ? 

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  • L'oiseau devinette du lundi

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    Reconnaissez-vous cet oiseau qui planait le jour de Noël, le 25 décembre 2018, dans le siège de Lège Cap Ferret (33) ? Photo Alain Noël

    alain noel.jpgChaque lundi, Ma Planète vous invite à découvrir un oiseau de la région, avec une petite énigme proposée par Alain Noël, ornithologue amateur et photographe animalier girondin.

    Notre oiseau mystère de la semaine fait partie de la grande famille des laridés. Et pour être plus précis à celle des goélands. Il en est même le plus grand spécimen. Sa tête est assez massive. Une fois adulte (dès l'âge de 4 ans), il présente des ailes noirâtres. Malgré sa taille conséquente, il peut passer inaperçu, car il se mélange avec des goélands plus communs, les bruns et les leucophées.

    Quel est donc cet oiseau qui s'aventure peu à l'intérieur des terres, préférant les rivages et les ports marins ? Langue au chat ? 

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  • Biodiversité : ces vieux légumes rustiques français qui renaissent grâce à l'Institut russe Vavilov

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    Photo archives AFP/  Jean-Philippe Ksiazek 

    Une fois n'est pas coutume, le terroir français et sa biodiversité peuvent dire un grand merci à la Russie. Les « haricots de Lyon » et le chou « quintal d’Auvergne », ingrédient indispensable de la fameuse potée auvergnate, notamment, doivent une fière chandelle au botaniste russe Nikolaï Vavilov. 

    Disparues pendant des décennies, des graines de ces vieux légumes français rustiques et résistants ont été retrouvées dans la plus ancienne banque de semences du monde, hébergée à Saint Petersbourg. Et le vénérable Institut Vavilov de Saint-Petersbourg, patrimoine vivant du végétal mondial veut en faire profiter la France.  Hier, le jeudi le 11 avril, il a ouvert près de Lyon sa première antenne de conservation et de multiplication de semences hors de Russie, avec des partenaires français. Une bonne réponse aux conséquences du réchauffement climatique sur les plantes.

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