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Climat - Page 287

  • News fil vert : Pic de pollution particules en suspension en Aquitaine

    nuages.jpgQualité de l'air, jeudi 15 mars 2012. PIC DE POLLUTION AUX PARTICULES EN SUSPENSION en à Bordeaux et en Aquitaine. 

    Bordeaux : indice 8 (mauvais). Arcachon, Bayonne, Lacq, Pau : indice 7 (médiocre).  SIR (Seuil d'information et de recommandations) publié par AIRAQ : les conditions météorologiques anticycloniques actuelles, associées aux émissions polluantes, favorisent l'accumulation progressive des concentrations en particules en suspension sur ces agglomérations. Airaq préconise un certain nombre de recommandations pour diminuer ce taux de pollution.  En savoir plus : CLIQUER ICI

  • News fil vert. Qualité de l'air en Aquitaine : le bilan Airaq de février

    nuages.jpgUn mois de février pas vraiment respirable... En moyenne, seulement 26 % d'indices très bons à bons publiés par Airaq sur le deuxième mois de l'année. Les conditions météorologiques ont été particulièrement propices à l’augmentation des niveaux de particules en suspension sur la région. Ainsi de nombreux indices mauvais à très mauvais ont été constatés sur l’ensemble des agglomérations. A noter que l’indice de Dax n’a pu être validé que 10 fois sur le mois en raison d’une panne sur l’analyseur de particules en suspension.

     L'air de février 2012
     Indice Atmo et IQA

    Bordeaux

    Pau

    BAB

    Lacq

    Périgueux

    Agen

    Dax

    Arcachon

    Très bon à Bon

    6

    11

    11

    8

    4

    8

    0

    8

    Moyen à Médiocre

    15

    15

    15

    17

    21

    14

    9

    18

    Mauvais à Très mauvais

    8

    3

    3

    4

    4

    7

    1

    3

    En nombre de jours avec l'indice correspondant dans le mois.

    Source Airaq, l'Agence de surveillance de la qualité de l'air en Aquitaine

    Pour contacter Airaq : cliquer ICI

    Cathy Lafon

  • La Nasa met en vidéo le réchauffement climatique


    2011 a été la neuvième année la plus chaude depuis 1880, et depuis 2000 la Terre a connu neuf de ses dix années les plus chaudes. Une évolution mise en parallèle avec celle du CO2.

    nasa.jpg

    Sources Nasa, janvier 2012.

    La Terre se réchauffe, et ce, toujours plus vite. Si les scientifiques ne cessent de le rabâcher, à coup d'études et rapports documentés, une poignée de climatosceptiques continue de nier cette réalité, invoquant une manipulation planétaire.  Alors, quoi de mieux qu'une animation pour mesurer le phénomène ? Cent trente ans d’évolution des températures sur Terre résumés dans une vidéo de 27 secondes, c’est l'exploit scientifique réalisé par la Nasa (National Aeronautics and Space Administration).

    Décryptage. 

    Les couleurs de la vidéo de l'agence spatiale américaine montrent que depuis peu les températures ont grimpé dans la plupart des régions du monde. La hausse des températures est devenue plus sensible à partir de la fin des années 1970. Dans la vidéo, les rouges indiquent des températures plus hautes que la moyenne de la période 1951-1980, et les bleus des températures plus basses.

    L’agence spatiale américaine commente ses données climatiques, analysées par le Goddard Institute for Space Studies (GISS), basé à New York. Le GISS a comparé les températures à travers le monde à celles du milieu du 20è siècle et conclue que la température moyenne sur Terre l’an dernier était de 0,51 °C plus élevée qu’au milieu du siècle dernier.

    Une hausse des températures qui s'accélère, malgré une activité solaire faible ces dernières années, et une Niña en pleine forme. « Nous savons que la planète absorbe plus d’énergie qu’elle n’en émet », déclare James E. Hansen, directeur du GISS. « Aussi continuons-nous à voir une tendance vers des températures croissantes. Même avec les effets rafraichissants d’une forte influence de La Niña et une activité solaire faible ces dernières années, 2011 a été une des dix années les plus chaudes enregistrées. »

    La hausse exponentielle des émissions de gaz à effet de serre en cause. Un réchauffement de la planète à mettre en corrélation selan l'agence spatiale américaine avec l'évolution du gaz carbonique dans l'amosphère. Les données météorologiques agrégées par la Nasa proviennent d’un millier de stations météo dans le monde. L’agence les met en parallèle avec l’évolution du gaz carbonique dans l’atmosphère: en 1880, au début des mesures modernes, la concentration de CO2 dans l’atmosphère était de 285 parties par million. Vers 1960, elle avait grimpé à 315 parties par million. Actuellement, elle dépasse 390 parties et continue à augmenter rapidement.

    La  Nasa participe-t-elle aussi au grand complot écolo du réchauffement climatique, aux côtés du CNRS, du GIEC, du Programme européen sur le changement climatique (CLAMER), du Centre national d'étude de la neige et de la glace (NSIDC) des Etats-Unis..., relayé par l'ONU, l'Union Européenne, et les gouvernements de la plupart des pays du monde, dont la France, l'Allemagne...  ?  Bonne enquête à confier au FBI, dans la plus pure tradition Hoover. A suivre...

    Cathy Lafon

    EN SAVOIR PLUS

    Le site du rapport de la Nasa et du GIIS : cliquer ICI (en anglais)

    ►  Lire aussi :

    Changement climatique : comment espérer stabiliser le climat

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