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Association - Page 107

  • La première éolienne d'Aquitaine est en vue !

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    Un jour, des éoliennes nouvelle génération à Naujac-sur-Mer ? Image de synthèse DR Valorem

    Chez les accros à l'actu des énergies renouvelables qui se désespèrent de la situation de l'éolien en Aquitaine où pas une seule pale ne tourne encore, la nouvelle va buzzer : la première éolienne de la région devrait enfin voir le jour le vendredi 7 juin, à 16 h30, au jardin public de Bordeaux ! 

    Oups. Quoi ? Non ! Pas possible ! J'y crois pas... Anti et pro-éoliens : pas de panique !  Personne n'a zappé l'épisode crucial de l'interminable feuilleton : "Y aura-t-il un jour une éolienne en Aquitaine ?" L'éolienne en question est une chaîne humaine qui sera formée d'un coup de baguette magique par la bonne fée française de l'éolien, l'association France Energie Eolienne (FEE), à l’occasion de la journée mondiale de l’éolien (WIND DAY). Ouf !  Ou hélas ?

    eolien,énergie,eolienne,aquitaine,bordeaux,journée mondiale,valorem,feeRecord en décembre 2012 de production du parc éolien français

    Dans plus de 75 pays du monde, il y a des parcs éoliens en activité. En France, le déploiement de l’éolien a permis en dix ans de créer plus de 11.000 emplois et d’installer plus de 7.500 mégawatts (MW) d’énergie éolienne, soit l’équivalent de 3 % de la consommation électrique française.  D’après les données du Réseau de transport d’électricité (RTE), le parc éolien français a battu un nouveau record le 14 décembre 2012. Ce jour là, à 15h30, la production d’électricité était de 5.758 MW, loin devant les 1.122 MW le précédent record hivernal des éoliennes françaises, selon Enerzine. L’association France Energie Eolienne (FEE) estime à 8% la part de la consommation nationale d’électricité assurée par cette production.

    25 % de notre électricité pourrait être fournie par le vent en 2030

    Pour France Energie Eolienne, « l’éolien joue aujourd’hui une place centrale dans la transition énergétique ». En effet, selon ses calculs, l’éolien pourrait couvrir 25% de la demande en électricité à l’horizon 2030, moyennant 40 GW onshore et 15GW offshore. Avec 8 % en 2012, inutile de préciser qu'on est encore loin du compte... D'autant que l'éolien comme le solaire français a connu un premier trimestre 2013 difficile. Les nouvelles capacités de production éolienne raccordées au premier trimestre 2013 en France représentent seulement 73 MW (mégawatts) et accusent une baisse de 31% par rapport à la même période en 2012, selon le bilan du Commissariat général au développement durable (CGDD) publié le 3 juin.  Un "net ralentissement" avait déjà été constaté sur la période allant du dernier trimestre 2011 au milieu de l'année 2012, "mais une reprise était intervenue ensuite au deuxième semestre 2012", rappelle le CGDD.  Le parc éolien tricolore atteint désormais une puissance installée de 7.667 MW au 31 mars 2013. "En cas de poursuite de la tendance, 2013 pourrait être la troisième année de baisse consécutive du niveau des raccordements confirmant ainsi la rupture par rapport à la montée en puissance initiale observée jusqu'à 2010", conclut le CGDD. Plutôt paradoxal, au moment où le débat national sur la transition énergétique touche à sa fin...

    Un jour, en Gironde,  25 éoliennes "nouvelle génération" à grand mât ?

    Le préfet de région, Michel Delpuech, a signé le 21 décembre dernier « les arrêtés autorisant la création de deux zones de développement de l'éolien (ZDE) présentées par la Communauté de communes (CdC) Pointe du Médoc . Vingt-cinq éoliennes "nouvelles génération", à grand mâts, pourraient y être construites. La région franchissait enfin un premier pas pour l'implantation de l'éolien au Verdon et à Naujac-sur-Mer (Gironde), le jour même de l'apocalypse prévue par le calendrier maya... Mais ce n'est pas encore demain la veille que des éoliennes girondines fourniront de l'électricité ! A Naujac, s'il n'est pas mort, le dossier d’implantation d’éoliennes dans l’Entre-deux-Mers vient de subir, fin mai, un coup d’arrêt. Après une nouvelle réunion publique sur le sujet, la population de Blasimon consultée a rejeté le projet porté sur la commune par la société Abo Wind (53 contre, 29 pour, trois blancs et un nul).

    eolien,énergie,eolienne,aquitaine,bordeaux,journée mondiale,valorem,feeUne "éolienne humaine" à Bordeaux pour la journée mondiale de l'éolien

    À l’initiative de lEWEA (European Wind Energy Association) et du GWEC (Global Wind Energy Council), de nombreux événements sont organisés dans le monde chaque année, afin de célébrer l’énergie éolienne. Un soutien dont cette dernière a bien besoin en Aquitaine et en Gironde... A Bordeaux, c'est une « éolienne humaine » qui doit se former au jardin public, dans l’esprit des rassemblements FlashMob, comme à Paris en 2011, à l'iniative de Greenpeace (photo ci-dessus). L’objectif de cette manifestation organisée par la FEE (France Energie Eolienne), est de sensibiliser le grand public à la nécessité d’opérer une transition énergétique en faveur des énergies renouvelables.

    La FlashMob ouverte à tous permettra également de répondre aux questions des citoyens et d’expliquer les raisons pour lesquelles l’énergie éolienne est une solution propre, durable et naturellement renouvelable. C'est bon à savoir.

    Cathy Lafon

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    • L'éolienne humaine en Aquitaine, c'est où, c'est quand ?  Le 7 Juin 2013, à 16h30, au jardin public de Bordeaux.
    • A propos de France Energie Eolienne

    Fondée en 1996, l'association France Energie Eolienne (FEE) rassemble aujourd'hui plus de 250 acteurs de la filière éolienne et représente les intérêts de cette filière industrielle qui pèse déjà plus de 11 000 emplois. Elle vise à un développement harmonieux de ce nouveau secteur, afin de faire de la filière éolienne une industrie créatrice d’emplois non délocalisables et porteuse de développement en région. 

    Contacts : GR FEE Sud-Ouest – chez Valorem - 213 Cours Victor Hugo 33323 BEGLES CEDEX.  Sébastien TROUVE - 06 81 72 82 09  et Camille GIRARD - 06 46 30 71 85?

    • Le Groupe Régional Sud-Ouest de France Energie Eolienne mobilise 40 entreprises actives dans le développement, la construction et l’exploitation de parcs éoliens et assure la promotion de l’énergie éolienne en régions Aquitaine, Poitou–Charentes et Limousin. www.http://fee.asso.fr/

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  • Surpêche : Mélanie Laurent se met à nu pour les poissons

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    Faire poser des stars en petite tenue en compagnie de poissons ou de crustacés? C'est la drôle d'idée de la campagne anglaise, baptisée "Fish Love", qui veut sensibiliser les Européens au problème de la surpêche. L'actrice française Mélanie Laurent a souhaité y participer.

    Mélanie en pince pour l'océan

    anne marie vergez.jpgEngagée auprès de l'ONG Greenpeace dans la lutte contre la surpêche, la belle Mélanie en pince pour l'océan, la mer et leurs habitants. Elle l'a déjà montré en assurant la narration  française du documentaire "The end of the line" sur la surpêche et en participant à un débat aux côtés d'Anne-Marie Vergez (patronne de pêche luzienne) et d'Hélène Bourges (Greenpeace), à Saint-Jean-de-Luz, pour défendre la pêche artisanale (photo ci-contre). De là à poser, nue, en exhibant fièrement un crabe devant sa poitrine, il y a quand même un sacré pas à franchir... Mais quand on aime et qu'on est écolo, on n'hésite pas à donner de sa personne.

    "Fish Love" : les stars s'engagent contre la surpêche

    surpeche,populations halieutique,lutte,prévention,vote,union européenne,europe,exposition,photoL'actrice française est loin d'être la seule à avoir répondu à l'invitation d'Alan Gelati, photographe de mode italien, et du Britannique Rankin, dans le cadre de "Fish Love". D'autres célébrités sont prêtes à déclarer leur flamme aux poissons, mollusques et crustacés qui peuplent nos mers. Vingt-quatre clichés de stars, de Lizzy Jagger, actrice et modèle, qui chevauche un énorme lieu jaune en tenue d’Eve, à l’acteur Sir Ben Kingsley, torse offert, qui tient un poulpe dans sa main, sont également exposés à la galerie Baudoin-Lebon, à Paris (IIIe), jusqu’à ce samedi 1er juin.

    Le vote de l'Europe contre la surpêche

    Une fois n'est pas coutume, les écolos ont une autre raison de se réjouir aujourd'hui. C'est moins glamour que Mélanie Laurent avec son crabe, mais tout aussi important (sinon plus...) : les pays de l'UE et le Parlement européen ont trouvé un accord  sur l'épineux dossier de la réforme de la politique commune de la pêche (PCP) dans la nuit du  mercredi 29 mai au jeudi 30 mai : la  pêche communautaire doit devenir plus durable en limitant progressivement les pratiques de surpêche dès 2014.

    surpeche 3.jpgLimiter à 5 % la quantité des poissons pêchés et rejetés

    En février dernier, le Parlement européen avait voté à une écrasante majorité (502 voix contre 137) le projet de loi sur la réforme du règlement de base de la politique commune de la pêche (PCP), en faveur d'une pêche durable. Pour limiter le déclin des ressources halieutiques, le compromis obtenu à l'arraché prévoit de limiter à 5% la quantité des poissons non commercialisables pouvant être rejetés par dessus-bord car trop petits, abîmés ou hors quotas. Ces "captures accessoires", représentent aujourd'hui jusqu'à un quart des prises de l'Union européenne. Les poissons, qui pour la plupart meurent après leur rejet, devront désormais être débarqués par les pêcheurs pour les inciter à davantage de sélectivité. Le Parlement européen qui prônait une interdiction totale de cette pratique, s'est finalement aligné sur les Etats membres.

    La pression des ONG

    L'UE est la troisième puissance de pêche mondiale derrière la Chine et le Pérou, mais ses ressources halieutiques déclinent: 47% des stocks de poissons en Atlantique et 80% en Méditerranée sont affectés par la surpêche. L'accord européen est donc un vrai succès pour la protection de la ressource naturelle halieutique. Il est aussi le résultat d'un processus inédit de négociations à trois avec la Commission européenne, qui s'est en fait déroulé sous la pression constante d'un quatrième acteur : les ONG et des associations de défense de l'environnement maritime, dont le collectif Océan 2012, qui regroupe 180 de ces organisations. 

    carton_fishlove.jpg"Fish love" deuxième saison...

    Si l'Europe vient de marquer des points dans la lutte contre la surpêche, cette pratique reste à combattre dans d'autres régions du monde. Alors, si on a raté l'expo "Fish Love" (tout le monde n'est pas Parisien...), on peut visualiser les photos sur internet. On peut aussi s'organiser pour la prochaine "Fish Love", prévue à partir d'une nouvelle série de clichés toute aussi étonnante, réalisée par le portraitiste Denis Rouvre. Avec des stars françaises dont les noms sont encore tenus secrets...

    Cathy Lafon

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  • Centrale nucléaire du Blayais : bilan de l'année 2012 "assez satisfaisant"

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    La centrale nucléaire de Blaye (Gironde) Photo DR

    L'Autorité de sûreté nucléaire poursuit son tour de France des centrales.  Après avoir taclé Civaux la semaine dernière, les sages du nucléaire étaient à Bordeaux, le mardi 28 mai, pour rendre leur verdict sur la centrale girondine qui, entrée en service en 1981, est l'une des trois plus anciennes de France, avec Fessenheim (Haut-Rhin) et Tricastin (Drôme).

    sécurité,sûreté nucléaire,centrale,blaye,asn,bilan,incidents"Assez satisfaisant"

    Les inspections "post Fukushima" de l'ASN à Civaux (Vienne), Blaye (Gironde) et Golfech (Tarn), ont vocation à contrôler dans le grand sud-ouest les actions correctives exigées des centrales depuis la catastrophe nucléaire japonaise de 2011. Les mentions "satisfaisant" et encore moins "très satisfaisant" ne font pas partie cette année du vocabulaire de l'ANS. La centrale nucléaire de Blaye peut donc se réjouir d'obtenir l'appréciation : "assez satisfaisant" pour sa sûreté. Ce qui la "détache positivement de l'ensemble des centrales d'EDF", pour reprendre les termes précis de l'institution. Et nous réjouit aussi, par la même occasion...

    Blaye fait mieux que Civaux et Golfech

    En langage de madame tout le monde, cela veut dire que la sécurité du  site de Blaye est supérieure à la moyenne des installations françaises. Supérieure à la moyenne ne signifie pas non plus que tout est parfait et qu'il n'y a aucun risque. L'ASN a déjà fait valoir que le risque zéro n'existait pas en matière de nucléaire, qu'un accident était toujours possible et qu'il fallait aussi s'attendre à ce qu'un jour ou l'autre, elle exige la fermeture d'un ou de plusieurs réacteurs français. D'où la nécessité, selon elle, d'entamer la transition énergétique. Mais pour Blaye, le jugement est plutôt rassurant : même si  "quelques écarts" ont néanmoins été constatés, ils sont "sans conséquences notables", selon Anne-Cécile Rigail, la responsable Aquitaine, Midi-Pyrénées et Poitou-Charentes du gendarme du nucléaire français. Ouf, on respire !

    civaux 2.jpgCivaux : manque de rigueur et en retrait par rapport à l'appréciation générale "assez satisfaisant"

    En effet, dans la Vienne, la situation est moins rose : l'ASN considère que  "les performances de la centrale de Civaux en matière de sûreté et de protection de l'environnement sont en retrait par rapport à l'appréciation générale que l'ASN porte sur EDF". On se souvient qu'en janvier dernier, une fuite de tritium avait été constatée à Civaux. L'ASN a relevé des défauts d'application des règles de conduite des réacteurs, des lacunes dans le traitement des dossiers de maintenance et a exigé "plus de rigueur". En langage de madame tout le monde : "Attention, Civaux, ça ne va pas..." Quant à Golfech, si le jugement est comme pour Blaye "assez satisfaisant", l'ASN a également noté "un manque de rigueur lors de certaines opérations d'exploitation". Le site "n'est pas suffisamment réactif dans le traitement des événements pouvant avoir un impact sur l'environnement", et il "doit améliorer sa surveillance sur les prestataires, lors des opérations de maintenance".

    rigail.jpg48 incidents significatifs

    L'an passé, la centrale de Blaye a été inspectée à vingt reprises par les agents de l'ASN, a indiqué Anne-Cécile Rigail (photo ci-contre). Au total, le site a enregistré 48 incidents significatifs, dont six de niveau 1 sur les huit que compte l'échelle INES, le septième et dernier niveau correspondant à une catastrophe de type Tchernobyl ou Fukushima. Tous les autres ont été classés niveau 0. Globalement, "l'évaluation est donc plutôt positive".  A titre d'exemple, la responsable a cité le bon déroulement des opérations de maintenance lors des arrêts de réacteurs, en particulier lors de la visite décennale du réacteur n°1, de mars à juillet. En 2013, le réacteur n°2 fera lui aussi l'objet d'une visite décennale. Les générateurs de vapeur des réacteurs 2 et 4 seront également changés.

    Sous-traitance et transparence: doit mieux faire

    Par rapport à 2011, où l'on en avait relevé 35, le nombre d'incidents a néanmoins pas mal augmenté en 2012. Par ailleurs, le gendarme du nucléaire épingle aussi le site girondin pour "quelques écarts", sans conséquences, lors d'opérations nécessitant la manipulation d'un gammagraphe (appareil de contrôle utilisant de l'uranium appauvri, ndlr) et dans la conduite d'interventions d'employés dans des zones où les radiations sont élevées. Blaye doit également progresser dans la surveillance des sous-traitants qui interviennent sur le site, a souligné Mme Rigail et améliorer son suivi des prescriptions environnementales, ainsi que l'information des pouvoirs publics lors d'événements susceptibles d'affecter l'environnement. 

    Blaye : une centrale sous haute surveillance écologiste

    Située à quelque 50 km au nord de Bordeaux, en bordure de l'estuaire de la Gironde, la centrale de Blaye dispose de quatre réacteurs de 900 MW chacun et emploie environ 1.900 personnes. Les écologistes et les associations environnementales dont Tchernoblaye, réclament régulièrement sa fermeture, notamment depuis l'inondation, fin 1999, d'une partie du site sous l'effet conjugué d'une tempête et d'une forte houle. Peut-être est-ce aussi en partie grâce à leur pugnacité en matière d'exigence de sûreté que Blaye fait finalement partie des centrales françaises les mieux, ou les moins mal notées...

    Cathy Lafon

    PLUS D'INFO

    • L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), est une autorité administrative indépendante créée par la loi n° 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire (dite « loi TSN »). Elle est chargée de contrôler les activités nucléaires civiles en France. L’ASN assure, au nom de l’État, le contrôle de la sûreté nucléaire et de la radioprotection en France pour protéger les travailleurs, les patients, le public et l’environnement des risques liés aux activités nucléaires. Elle contribue à l’information des citoyens. Le site de l'ASN : cliquer ICI.
    • La division de Bordeaux de l’ASN constitue une des onze divisions territoriales de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Elle assure le contrôle de la sûreté nucléaire et de la radioprotection dans les régions Aquitaine, Midi-Pyrénées et Poitou-Charentes. Le site de l'ASN Bordeaux: cliquer ICI.

    L'ASN BORDEAUX EN CHIFFRES

    • 23 agents.
    • 3 régions. Un parc étendu d’activités et d’installations à contrôler en Aquitaine, Poitou-Charentes etMidi-Pyrénées : avec les 3 centrales nucléaires d’EDF de Golfech, Blayais et Civaux ;  environ 7200 appareils médicaux de diagnostic (radiologie) ;  109 services de scannographie ;  23 services de radiothérapie ;  130 laboratoires de recherche.
    • 61 inspections  ont été réalisées en 2012 dont : 20  sur la centrale nucléaire du Blayais (Gironde) ;  22  sur la centrale nucléaire de Civaux (Vienne) ; 19  sur la centrale nucléaire de Golfech (Tarn-et-Garonne).
    • 141 inspections ont été réalisées en 2012 dans le domaine du nucléaire de proximité en Aquitaine, Poitou-Charentes et Midi-Pyrénées dont :  64 en Aquitaine ; 47 en Midi-Pyrénées ; 30 en Poitou-Charentes.