Mon été 2013 en mode écolo. Pour protéger ma peau et l'océan : la crème solaire EVOA
Bronzer à la plage en protégeant sa peau et l'océan... c'est possible ! Photo archives Sud Ouest / Franck Perrogon
Ca y est, pour ceux qui partent en août, c'est bientôt les vacances ! Quant aux "juillettistes", c'est la ligne droite pour faire le plein de bonne humeur et peaufiner le bronzage... Qu'emporter dans sa valise pour passer des vacances plus vertes que vertes ? Ma Planète a sélectionné pour vous les trois objets indispensables pour un l'été 2013 écolo-compatible.
Aujourd'hui, la crème solaire EVOA, proposée par une société basée à Biarritz (64) : elle protège la peau tout en préservant le corail et en respectant l'océan.
On n'y pense pas vraiment quand on enduit sa peau de crème pour la protéger des méfaits du soleil : certains produits cosmétiques, pas toujours très bons pour la peau, ont aussi des effets toxiques sur le corail et le milieu aquatique. C'est ce que révèle en 2008 une étude réalisée par le Pr Danovaro, du Département des Sciences Marines à l’Université d’Ancona en Italie, publiée par le National Geographic. La plupart des crèmes solaires contiennent des filtres chimiques et un filtre minéral, l’oxyde de zinc. Appliqués sur la peau, ces éléments se dispersent dans l’eau et sont très polluants pour le milieu aquatique. Même avec une faible concentration, ils provoquent une mortalité massive et rapide du corail, déjà en péril. Alors, que faire ? Sauver sa peau ou la planète ?
Plus besoin de choisir : les soins solaires et cosmétiques EVOA by EQ apportent une solution certifiée à la nocivité des produits de protection corporelle sur le milieu marin et en particulier le corail.
La passion de la nature et du surf
Edouard Thouvenot (photo ci-contre) a longtemps travaillé dans l’industrie du luxe pour des grands groupes internationaux. Il a surtout une passion pour la nature, sa protection... et le surf. Devant le constat alarmant de l'étude italienne, le fondateur d'EVOA décide d’apporter une alternative écologique à l’offre des soins solaires présents sur le marché. Après deux ans de recherches sur les ingrédients en collaboration avec l’équipe du Pr Danovaro, il met au point la gamme EVOA, aux formulations testées selon un protocole scientifique. En septembre 2012, EVOA s’associe avec la marque EQ pour soutenir son développement et accroître sa présence sur les marchés internationaux. Depuis, la gamme EVOA by EQ est devenue la première gamme au monde de crèmes solaires bio-éco-compatibles et scientifiquement approuvées pour un usage en zone coralienne.
Bio, bon pour la planète et made in France
Tous les produits de la gamme sont 100% naturels. Testés dermatologiquement, ils sont garantis sans parabène, sans allergène, sans nanoparticule, sans PEG, sans filtre chimique. Ils sont fabriqués en France et labellisés par Ecocert et COSMEBIO. De la crème solaire à l'huile sèche hydratante, en passant par le stick à lèvres et le lait après soleil, EVOA ne fait que du bio, adapté à toute la famille. Et le parfum ? Pas mal: il évoque l'été, les vacances, la plage...
Combien ça coûte ?
Non, EVOA, ce n'est pas "hors de prix parce que c'est bio". Il faut compter de 6,80 € le stick à lèvres à 18,95 € et 19,95 € les crèmes solaires. Acheter en ligne : cliquer ICI
C'est tout ? Non. Cerise sur le gateau : EVOA by EQ est aussi partenaire du programme 1 % pour la planète et de la Surfrider Fondation. Ainsi la marque contribue activement à la préservation de la biodiversité en attribuant une partie du produit de ses ventes à des actions de repeuplement des massifs coralliens dans les zones dévastées et s’engage activement dans des actions de sensibilisation à la protection des écosystèmes marins. Acheter une crème EVOA, "made in France" est aussi un acte éco-solidaire.
Sauver les récifs de corail en tapant la bronzette : qui oser encore parler de "bronzer idiot" ?
►LE SAVIEZ-VOUS ?
- 40 à 50% du corail mondial pourrait disparaître sous l’effet des pollutions et du réchauffement climatique dans les 20 prochaines années.
- 4 000 à 6 000 tonnes sont, par dilution des produits appliqués sur la peau, rejetées sur les récits coralliens (l'équivalent d'un tiers de la cargaison de l'Erica en 1999).
- 25% des espèces marines sont dépendantes du corail.
►LE SITE D'EVOA : cliquer ICI